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Forbes a élu les 100 femmes les plus puissantes au monde - Montage Flair - Photos Getty Images
Forbes a élu les 100 femmes les plus puissantes au monde - Montage Flair - Photos Getty Images

Voici les femmes les plus puissantes au monde selon Forbes

Kathleen Wuyard

Depuis 18 ans que le magazine “Forbes” publie son classement des femmes les plus puissantes au monde, Angela Merkel a occupé la première position à 14 reprises. Aujourd’hui retirée de la vie politique, elle a laissé sa place à une nouvelle arrivante, et à un top 5 qui célèbre toute la diversité de la puissance féminine.

La nouvelle femme en pôle position du pouvoir mondial? MacKenzie Scott, qui, depuis son divorce avec le fondateur d’Amazon Jeff Bezos, est la femme la plus riche au monde, et, contrairement à son ex-mari pas forcément connu pour ses visées philanthropiques, a immédiatement décidé d’utiliser tout cet argent (62.2 milliards de dollars précisément) pour tenter de changer le monde en mieux.

Notamment, en signant le Giving Pledge, un engagement à léguer au moins la moitié de sa fortune colossale à des oeuvres de charité, mais aussi en commençant de son vivant, MacKenzie Scott ayant fait don de 5.8 milliards en 2020 et 2.7 milliards en 2021, notamment pour apporter des solutions concrètes à la myriade de problèmes créés par la pandémie de COVID.

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Forbes met la force des femmes à l’honneur

En deuxième position, une autre Américaine: Kamala Harris, la vice-présidente démocrate, pourtant quelque peu en perte de vitesse depuis son élection, sa cote de popularité étant en baisse et sa chargée de communication venant tout juste de démissionner. Une tempête passagère? Affaire à suivre, mais celle qui la suit sur le podium, Christine Lagarde, est elle au faîte de son pouvoir: l’ancienne avocate d’affaire, première femme à occuper le poste de Ministre de l’Economie dans un pays du G8, a quitté en 2019 la direction du Fonds Monétaire International pour assumer la présidence de la Banque Centrale Européenne, deux postes qu’elle a également été la première femme à occuper.

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Et si, en quatrième position, il est plus que probable que le nom de Mary Barra ne vous évoque rien, cette native du Michigan, fille d’un ouvrier de General Motors, a marché dans les traces de son père... Jusqu’à être nommée directrice générale du constructeur automobile américain en 2013. Un poste depuis lequel elle refuse de (se) mettre des oeillères, déclarant ainsi cinq ans après sa nomination que “le changement climatique est réel. Nous reconnaissons que le secteur des transports y contribue pour une part importante et que nous devons faire partie de la solution”, en investissant notamment dans un avenir 100% électrique des transports.

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Enfin, en cinquième place de ce panel de femmes de tête, une autre “ex de”, cette fois, Melinda French Gates, mariée pendant près de 30 ans au fondateur de Microsoft, avec lequel elle s’est lancée à bras le corps dans la philanthropie, redoublant d’efforts et de générosité depuis leur divorce. Disponible ici dans son entièreté, le classement de “Forbes” ne salue toutefois pas que les entrepreneuses, politiciennes ou philanthropes, puisqu’on y retrouve aussi Rihanna (60e place), Reese Witherspoon (74e place), Serena Williams (85e place) ou encore la lanceuse d’alerte Frances Haugen (100e place). Et puis peut-être vous, bientôt aussi? C’est tout ce qu’on vous souhaite.

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