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Défi Body, semaine 3: investir dans son corps, un luxe nécessaire

Kathleen Wuyard

Chaque été c’est pareil: on se promet de s’y prendre en avance, puis entre les glaces, les barbecues et les cocktails, on se retrouve à s’affamer 3 jours avant le départ en priant pour perdre une taille de vêtements d’ici là. Cette fois, on a décidé de s’y prendre en avance, et sainement, et c’est Kathleen, notre journaliste intrépide, qui a accepté de relever le défi body. Six semaines pour se sentir bien dans son corps? C’est parti!


Parmi mes attentes au début de ce défi, certaines étaient irréalistes. J’ai vite compris, par exemple, que si faire du sport était un incompressible, ce n’était pas une excuse pour manger n’importe quoi et espérer tout de même perdre du poids. Ne parlons même pas de mon rêve de rentrer dans du 36 en 6 semaines avec en prime, 20 centimètres de longueur de cheveux en prime: si faire des abdos aidaient à la pousse des cheveux, ça se saurait, et tout le monde en ferait. La bonne surprise, c’est qu’en 3 semaines de rendez-vous bi-hebdomadaires avec Tanya, les résultats commencent à être visibles. Peau lissée, fesses musclées, jambes affinées... On est encore (très) loin du catalogue de Victoria’s Secret, mais chaque jour plus proche d’un corps qui ne me causera pas d’angoisse sur la plage. La mauvaise surprise, par contre, c’est que si mon corps change, lui, il n’en va pas de même de mon mental.

La volonté, un muscle difficile à dompter


Bien sûr, constater les effets est ultra motivant. Bien sûr, cela me pousse aussi à faire attention à ce que je mets dans mon assiette, parce que je n’ai pas envie de gâcher mes efforts pour de la junk food aussitôt-avalée-aussitôt-logée-sur-mes-cuisses. Mais malgré tout, avant chaque séance, c’est pareil: la perspective de transpirer, souffrir (un peu, mais quand même) et devoir tout donner ne m’enchante pas. C’est la raison pour laquelle mon smartphone a un onglet rempli d’applications fitness utilisées trois fois, mes chaussures de running ont été transformées en accessoire mode et mon abonnement à une salle de sport n’a finalement été qu’une généreuse donation puisque je n’y suis jamais allée. Je ne dirais pas que je suis une feignasse, non, mais entre me pelotonner avec un livre et un verre de vin à la main ou aller me coller une bonne suée en me dépensant, mon choix restera toujours le même.

Une alliée précieuse pour atteindre les objectifs fixés


Sauf qu’avec Tanya, je suis forcée de me bouger. Comme vendredi dernier, quand je suis arrivée pour la séance en lendemain de veille, qui plus est sans avoir petit-déjeuné, et qu’après dix minutes seulement, j’avais envie de lui dire que ça n’allait pas être possible et qu’il allait falloir écourter la séance aujourd’hui. Si elle avait été un coach virtuel sur mon téléphone, un petit stipe vers le haut et hop, fin de l’exercice. Mais le fait d’avoir une personne en face de soi, qui sait jusqu’où pousser et n’hésite pas à le faire, ça responsabilise, et ça pousse à s’y tenir. Certes, a priori, s’offrir les services d’un coach personnel, ce n’est pas à la portée de toutes les bourses. Chez Tanya, les tarifs commencent à 550 euros pour deux séances par semaine pendant 3 mois. Un budget, et il y a quelques semaines encore, je me serais dit que ce n’était pas dans mes moyens et j’aurais continue à rêver d’avoir un physique bombesque sans lever les fesses de mon canapé. Sauf qu’en fait, 550 euros pour trois mois, si on divise ça en un resto toutes les deux semaines ou un gros craquage shopping mensuel, le compte y est. Avoir une coach ne m’a pas rendu accro au sport, et peut-être que ce sera toujours une pénitence de me traîner pour aller m’entraîner. Mais avoir quelqu’un qui me pousse à me dépasser et qui surveille avec attention mes progrès, ça me permet de continuer. Et ça, à défaut d’être née avec une volonté de fer, ça n’a pas de prix.

Le conseil de Tanya:

On est vraiment ce qu’on mange. Si tu craques pour du fast-food tout le temps, tu vas finir par ressembler à un hamburger.

L’allié de la semaine:


Pour ne pas ressembler à un hamburger et mettre décidément toutes les chances de mon côté, je décide de braver (littéralement) le froid et de tenter la cryolipolyse. Ou comment donner un bon coup de pouce avant le bikini aux zones qui prennent beaucoup de temps à changer, par exemple, le bas du ventre, où un petit pli rebelle résiste à toute remise en forme depuis des années. La promesse: faire disparaître les cellules graisseuses en les tuant par le froid. Ni scalpel ni bistouri mais bien une heure (indolore) dans un drôle d’appareil, avec effets définitifs visibles après 8 semaines. Quitte à prendre soin de soi, autant le faire correctement et aller faire le traitement dans l’écrin feutré de l’Aspria Louise, où la chaleur de Véronique, en charge du traitement, fait oublier toute sensation de froid. Dès la fin de la séance, un sentiment de légèreté se fait sentir sur la zone traitée, et c’est une sacrée motivation pour tout donner pendant les 3 prochaines semaines du défi body... et celles d’après! Bring it on!

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Défi body, semaine 1: réveil (musculaire) difficile

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