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Flair Book Club: on a dévoré ““Un manoir en Cornouailles”” en attendant que Downton Abbey sorte au ciné

Kathleen Wuyard

Un grandiose manoir dans l’écrin de la campagne anglaise. Une famille marquée par le drame et les secrets... Vous pensez immédiatement à Downton Abbey? Nous aussi, d’ailleurs, c’est ce qui nous a motivées à entamer “Un manoir en Cornouailles”... qui s’est avéré être tout aussi passionnant que la série, et d’autant plus addictif qu’il se passe en partie à notre époque aussi.

Le résumé


Cornouailles, 1968. Pencraw, un grandiose manoir en ruine dans lequel les Alton élisent domicile l’été. Le temps semble s’y être arrêté et défile sans encombre. Jusqu’au drame qui vient bouleverser leurs vies et arrêter le temps à jamais.

Trente ans plus tard, avec son fiancé Jon, Lorna roule à la recherche du manoir des Lapins noirs, cette maison où elle a séjourné enfant. Elle rêve d’y célébrer son mariage. Tout dans cette vieille demeure l’appelle et l’attire. Mais faut-il vraiment déterrer les sombres mystères de ce manoir en Cornouailles?

Pourquoi on a aimé?


Tant dans les dialogues que dans le rythme, qui évoquent le style légèrement rétro de Daphné du Maurier, on ne peut pas s’empêcher de se sentir transportées dès les premières pages à l’époque où se déroule le roman, ce qui plonge immédiatement dans l’intrigue et l’univers du livre. Un livre qui a pour théâtre le genre de splendide manoir de rêve où on se verrait bien faire comme Lorna et célébrer notre mariage... Amour-secrets de famille-élément dramatique, on est face à la parfaite trilogie du roman de vacances qu’on savoure de la première à la dernière page, et Eve Chase ne déçoit pas. Très vite, on oublie de rêvasser à Downton Abbey tant on se passionne pour le récit des Alton et de Lorna, les sauts de puce entre leurs époques respectives étant effectués sans heurts par l’auteure. Jusqu’aux dernières pages, on retient son souffle en se demandant ce que pourra bien être ce terrible secret de famille qui hante le manoir des Lapins noirs, et une fois la dernière page tournée, on s’empresse d’aller voir sur Internet si Pencraw existe vraiment (non, malheureusement...) et de se renseigner sur comment se rendre en Cornouailles. Bon point qui peut paraître dérisoire, mais qui a toute son importance en cette période de vacances: le format du livre, typique des 10/18, qui est suffisamment petit pour être transporté sans souci de la chambre à la plage, mais assez rigide aussi pour résister aux aléas de la lecture au soleil. Testé et validé sur un transat!

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