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© luizclas via Pexels

TÉMOIGNAGE: ce traitement contre l’acné a changé ma vie

La rédaction

Au-delà de l’aspect esthétique, certains traitements peuvent avoir un impact important sur notre vie. Depuis qu’Ouassila, 23 ans et mannequin professionnel est soignée efficacement pour son acné, elle a vu son existence et son image d’elle-même changer positivement.

Je souffre d’acné sévère depuis mes 12 ans. Vers 14 ans, j’ai commencé à appliquer de ­nombreuses crèmes, mais rien n’a fonctionné. Ensuite, j’ai fait deux traitements au Roaccutane. La première fois a été très efficace, mais les boutons sont revenus. La deuxième fois, le Roaccutane a affecté ma ­respiration, j’ai donc dû arrêter de le prendre. C’est là que j’ai commencé à chercher d’autres solutions.

Déséquilibre hormonal

Comme je souffrais d’acné hormonale, j’ai commencé à prendre la pilule à 18 ans. Cela a un peu ralenti l’acné, mais le problème était loin d’être résolu. Je ne l’ai pas maîtrisé avant mes 20 ans et j’ai encore des poussées de temps en temps, surtout pendant les périodes de stress. Une combinaison de microneedling et de peelings chimiques s’est avérée le moyen de garder ma peau aussi pure que possible. Je fais aussi occasionnellement un traitement au laser pour éviter les cicatrices. Mais le déséquilibre ­hormonal est toujours là et je veux le traiter de l’intérieur. J’associe donc les traitements à un régime contre l’acné et j’ai également placé mes espoirs dans la médecine orientale.

Vivre avec

Je ne suis pas du genre à me faire du souci pour rien, mais ma peau reste vraiment un point sensible. ­L’apparence de ma peau détermine si je sors de chez moi ou non et cela affecte vraiment mon humeur. J’ai toujours beaucoup de mal à gérer une poussée d’acné.

Dans le passé, des poussées m’ont même amenée à annuler des missions en tant que mannequin, je trouvais des excuses pour ne pas y aller, simplement parce que je me sentais trop mal.

Et même si ça n’a jamais semblé poser problème à aucun client, ils peuvent toujours utiliser Photoshop si nécessaire, c’est moi qui me sens juste mal dans ma peau à ce moment-là. Je sais que c’est normal d’avoir des ­boutons, mais j’en ai tellement marre parce que je dois vivre avec depuis que j’ai 12 ans. Vous vous attendez à ce que ce genre de problème disparaisse en grandissant. Je peux à peine me rappeler à quel point j’étais mal avant de découvrir le microneedling et les peelings. »

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