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NOÖS, le premier réseau social dédié à la santé mentale et au bien-être

Gwendoline Cuvelier Journaliste

Hypnose, yoga, psychothérapie, ayurveda, médecine traditionnelle chinoise, homéopathie, sexothérapie, sophrologie, EMDR, shiatsu, acupuncture... sont quelques-unes des très nombreuses pratiques proposées aux visiteurs de NOÖS, la nouvelle plateforme axée sur le mieux-vivre.


D’après l’OMS, les problèmes de santé mentale constitueront bientôt la deuxième cause de mort prématurée et peuvent diminuer l’espérance de vie de 10 à 25 ans pour les cas graves. Lancée par les Belges Antoine Sepulchre et Emilie de Morteuil, la plateforme communautaire NOÖS a l’ambition de réduire drastiquement la période entre les premiers symptômes d’un problème de santé mentale et le moment de la prise en charge par un professionnel. Aujourd’hui l’OMS estime cette période à 10 ans, et avec sa solution unique et innovante Noös ambitionne de la compresser à moins de 6 mois, soit 20 fois plus rapidement. Pour atteindre cet objectif, l’équipe de Noös a décidé de tirer avantage des outils digitaux pour optimiser le processus d’éducation des patients et surtout, faciliter la prise de décision en mettant en place une communauté constituée de professionnels de la santé et du bien-être partageant leur vision.

La santé dans sa globalité


Antoine Sepulchre et Emilie de Morteuil perçoivent leur projet de plateforme communautaire comme une mission personnelle, une manière de rendre aux autres ce que ces pratiques de médecine alternative leur ont apporté comme équilibre. Cette plateforme axée sur le mieux-vivre éclôt au moment où le monde en a sans doute le plus besoin, alors que l’anxiété sanitaire et économique grandit suite à la pandémie de Coronavirus et que l’OMS estime qu’une personne sur deux est aujourd’hui en détresse psychologique.

NOÖS signifie “esprit” en grec ancien. “Notre vision est d’utiliser tous les outils technologiques disponibles pour faciliter et rétablir le lien avec des façons de se soigner holistiques souvent ancestrales” expliquent les co-fondateurs. “Nous avons construit notre approche autour de trois piliers: la santé mentale, l’alimentation et la place de la femme dans le parcours santé. Très souvent ce sont les mères de famille qui établissent les premières bases d’une hygiène de vie saine et nous souhaitions faciliter la vie de toutes les femmes qui jouent un rôle si important mais trop souvent dans l’ombre” précisent-ils.

Que trouve-t-on sur la plateforme NOÖS?


Via notre communauté on peut certes entrer en relation directe avec des thérapeutes, mais on peut surtout s’informer au travers de contenu diffusé par ces thérapeutes et les membres de la plateforme. Faire son cheminement à son rythme. Les utilisateurs ne vont pas coter les praticiens, mais plutôt indiquer pour quels symptômes ils ont été aidés afin d’offrir une approche inversée facilitant la recherche. Ce retour d’expérience va créer une sélection naturelle permettant de mettre en exergue les thérapeutes pour leur habilité réelle à traiter des troubles ou symptômes spécifiques” explique Emilie de Morteuil.

La technologie à bon escient


Basée sur un business model freemium similaire à LinkedIn, la plateforme est accessible gratuitement pour tous les professionnels de la santé et du bien-être mais certaines fonctionnalités comme l’agenda connecté ou la consultation vidéo seront payantes. “L’ambition est de mettre les réseaux sociaux au service du bien-être et de devenir le leader du marché en 10 ans” annonce Antoine Sepulchre, qui tenait d’abord à développer NOÖS dans son pays natal, la Belgique, avant de le déployer en France, en Allemagne, en Suisse, aux USA, au Mexique...

Je suis très inspiré par les algorithmes créés par Facebook et Instagram, je trouve cela fabuleux. Par contre, pourquoi ne pas utiliser la technologie à bon escient? Nous pouvons utiliser toutes ces datas pour analyser les intérêts des personnes non pas pour leur vendre des choses dont ils n’ont pas besoin, les frustrer, les déconnecter d’eux-mêmes, mais plutôt pour les aider en les orientant vers des contenus susceptibles de les faire avancer vers un mieux-être, de réduire leurs souffrances” explique le co-fondateur de NOÖS. “Bien sûr, la sécurité des datas de nos membres constitue notre priorité et elles ne seront jamais vendues ou échangées” assure Antoine Sepulchre.

Curieux·se de découvrir le premier réseau social dédié à la santé mentale et au bien-être? Rendez-vous sur la plateforme NOÖS.

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