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Défi body, semaine 4: les 6 mythes sur le sport qui freinent les efforts

Kathleen Wuyard

Chaque été c’est pareil: on se promet de s’y prendre en avance, puis entre les glaces, les barbecues et les cocktails, on se retrouve à s’affamer 3 jours avant le départ en priant pour perdre une taille de vêtements d’ici là. Cette fois, on a décidé de s’y prendre en avance, et sainement, et c’est Kathleen, notre journaliste intrépide, qui a accepté de relever le défi body. Six semaines pour se sentir bien dans son corps? C’est parti!


Si j’attends désormais mes deux séances hebdomadaires avec impatience, il ne s’agit pas là de la seule surprise de ce défi body. Au gré des exercices, non seulement je gomme petit à petit mes complexes, mais en prime, j’explose pas mal de clichés que j’avais sur le sport et sur les étapes nécessaires d’une remise en forme.

1. Pour perdre du poids, il faut nécessairement courir


Sur la liste des choses que je déteste, courir se situe certes quelques crans en-dessous d’une visite chez le dentiste, mais tout de même bien au-dessus d’une manne de linge à repasser par mes soins. C’est pénible, vaguement douloureux, et jamais agréable. Sauf que dans ma tête, c’était malheureusement une étape obligatoire de toute remise en forme. Faux: ainsi que Tanya me l’a vite souligné, il est parfaitement inutile de faire une activité sportive qu’on déteste, parce que ce sera toujours vu comme une contrainte et on va avoir du mal à s’y tenir. Ou comment définitivement me convaincre de recycler mes chaussures de running en accessoire mode des dimanches tranquilles.

2. Les crunches sont obligatoires pour un ventre plat


Faux, faux et archifaux. Non seulement ils augmentent les risques de blessures (et d’incontinence... gloups) s’ils sont faits n’importe comment, mais en prime, les crunches ont tendance à pousser les organes vers le bas, ce qui va donner un aspect gonflé au ventre alors même qu’il est musclé. Pour un ventre plat, on va préférer travailler les muscles profonds, notamment via des exercices de gainage. La mauvaise nouvelle, c’est que c’est tout aussi douloureux, mais au moins, on ne s’explose par la nuque et les cervicales au passage.

3. Le sport suffit


S’il suffisait de s’activer un peu deux heures par semaine pour pouvoir manger n’importe quoi à tous les repas, la vie serait tout de même nettement plus facile. Sauf qu’à moins d’être une de ces menteuses, euh pardon, mannequins qui prétendent s’empiffrer de burgers et de pizzas et tout de même flotter dans une taille 34, avoir un corps au top demande des efforts. Ce qui ne veut pas dire qu’il faut se priver ou s’interdire des aliments, mais bien craquer avec modération, et se rappeler que sculpter son corps, c’est 70% l’alimentation et 30% le sport.

4. Si ça ne fait pas mal, c’est que ça ne fonctionne pas


Bien sûr, il ne s’agit pas de s’activer pendant dix minutes, de décider que ça tiraille un peu et puis de remiser ses baskets pendant 3 semaines. Mais il ne faut pas non plus confondre une crampe avec une douleur plus profonde. D’où l’avantage de faire appel à un coach certifié pour se remettre le pied à l’étrier: non seulement Tanya corrige chacune de mes postures, mais en plus, grâce à une ceinture spéciale, elle monitore ma fréquence cardiaque et sait exactement jusqu’où elle peut me pousser.

5. Les bras doivent souffrir aussi pendant le gainage


Si les bras ramassent pendant qu’on fait la planche, ça ne veut pas dire qu’on est en train de se sculpter des biceps de déesse, mais simplement qu’on ne s’applique pas. Le gainage, c’est quasi entièrement sur les abdos qu’il repose, alors on serre les dents, et on se concentre sur le positionnement.

6. Chaque craquage remet les compteurs à zéro


On ne passe pas du jour au lendemain d’une vie sédentaire ponctuée de snacks devant la télé au quotidien d’une Parfaite qui alterne séances de sport, poisson bouilli et granola. C’est important de s’en rappeler, et de ne pas se décourager à chaque fois qu’on s’éloigne du droit chemin. Craquer pour un chips ou une glace, ce n’est pas grave, mais ce n’est pas non plus une excuse pour jeter les bras en l’air, enchainer sur une frite et une pita et décider que tant pis, on n’y arrivera pas. Le chemin est long, alors on fait preuve de bienveillance envers nous-même: on est notre meilleure alliée pour atteindre les objectifs qu’on s’est fixé.

Le conseil de Tanya:

Il faut prendre conscience du fait qu’on habite notre corps. On ne mettrait pas plein de déchets chez nous, alors pourquoi est-ce qu’on remplirait notre corps de malbouffe et qu’on ne prendrait pas soin de lui?

L’allié de la semaine:


Malheureusement, contrairement à la graisse qui disparait relativement vite si on s’applique, la cellulite, elle, est plus compliquée à dégager. Heureusement, Nuxe a sorti un duo crème + sérum aux effets carrément bluffants.

Tandis que l’huile va s’attaquer à la cellulite incrustée et en profiter pour affiner le tour de taille et les hanches au passage, le sérum agit plutôt sur les jambes et les fesses, avec en prime, un effet lissant immédiat assez hallucinant. Ou comment rester motivée même si les effets se font attendre.

Lire aussi: 

Défi body semaine 1: réveil (musculaire) difficile

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