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6 raisons d’enfourcher un vélo électrique pour son prochain city-trip

Barbara Wesoly

En tant que non sportive, l’idée de passer ses vacances en amoureux ou entre copines, à pédaler au milieu de la circulation, est tout sauf synonyme de voyage de rêve. Sauf que, une fois ajouté le mot électrique à l’équation, difficile de trouver un meilleur moyen de transport que le vélo pour arpenter les rues et ruelles des plus belles métropoles d’Europe et profiter à fond du moindre de leurs coins secrets.


À moins d’être adepte de la marche et de ne pas craindre les kilomètres et les ampoules aux pieds, vous en arrivez certainement à découvrir les métros, bus ou taxis de toutes les villes que visitez. De quoi troquer le sublime réseau de transports belge surbondé contre son équivalent étranger ou payer une fortune à chaque périple. Il y a pourtant bien plus simple et agréable: j’ai nommé le vélo électrique. Un outil ultra-pratique que les paresseuses que nous sommes, ont testés et approuvés en balade au cœur de Londres.

Au revoir les embouteillages


À l’idée de louer une voiture dans une ville inconnue, on s’imagine le road trip de folie, cheveux au vent et musique à fond. Sauf que dans les faits, on est plus proche d’une crise d’apoplexie liée au stress de ne connaître ni les rues, ni la conduite des habitants. Quand on ne se retrouve pas tout simplement coincée dans les embouteillages, à humer le doux parfum des pots d’échappement. Alors, histoire de ne pas se sentir comme à Bruxelles, soleil en plus, on se faufile dans la circulation à vélo. Et en cas d’overdose de pédalage, certains modèles électriques sont aussi pliables et donc facilement transportables dans le métro ou même en taxi, c’est notamment le cas de ceux proposés par la marque Brompton.

Le plaisir de se perdre


En city-trip, rien de plus gai que de découvrir des petits coins inconnus des touristes, des sublimes parcs cachés ou encore des bars dingues que seuls les locaux fréquentent. Une chasse au trésor urbaine, d’autant plus facile lorsqu’on flâne au gré des rues, sans objectif mais tout en pouvant parcourir suffisamment de distance pour dénicher des perles rares. De quoi arrêter d’user ses baskets, mais sans renoncer à dénicher des pépites citadines.

Aucune limite


Montées exténuantes à Barcelone, rues en pavées à Amsterdam ou encore parcs méconnus en périphérie de Londres, plus rien ne nous retient et certainement pas la fatigue, la distance ou la flemmardise. Et même dans le plus plat des centres-villes, on sera plus que ravies en fin de soirée, de foncer à vélo jusqu’à l’hôtel lorsque les températures commenceront à se faire polaires.

Un moindre effort


Inutile de vouloir mêler l’utile sportif à l’agréable et de chercher la motivation athlétique qui sommeille en nous. Si faire du vélo ne s’oublie pas, faire du vélo électrique ne risque, lui, pas de nous exténuer. Après être restée en vitesse de croisière, même en pente abrupte, on se garera à destination, aussi pimpante qu’au démarrage et sans crampes aux mollets.

Pas d’horaires


Pas besoin de héler un taxi à minuit, de craindre que les bus ne circulent plus une fois sortie du resto ou de trembloter de peur en allant au métro alors qu’il fait noir. Et pas de bagarre pour trouver une place de parking. Notre carrosse sur roues peut nous attendre à deux pas du super bar du coin ou de la salle de concert.

Un acte écolo


Il n’y a pas que chez soi que l’on peut veiller à l’environnement. Même si se rendre vers sa destination de vacances implique de prendre l’avion et donc de polluer, ce n’est pas une raison pour continuer une fois sur place. De quoi faire avancer, y compris au soleil, les changements d’habitudes et les petits gestes pour la planète.

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