Si “le travail c’est la santé”, que dire du télétravail avec vue sur des plages paradisiaques? C’est ce que propose l’île de la Barbade, petit paradis tropical dont est originaire Rihanna, qui a décidé de devenir une destination prisée pour télétravailler afin de relancer son économie malmenée par le COVID-19.
Comme nombre d’autres pays dont l’équilibre économique repose majoritairement sur le tourisme, la Barbade vient de vivre des mois (très) difficiles, et ne voit pas encore la lumière au bout du tunnel, restriction des déplacements et peur de voyager trop loin en ces temps de pandémie obligent. La solution trouvée par ce micro Etat insulaire coincé entre la mer des Caraïbes et l’océan Atlantique? Séduire les télétravailleurs en mal de lieu de travail paradisiaque.
Palmiers, plages de sable blanc, maisons pastel, eau turquoise... La Barbade a tous les atouts d’une destination de carte postale, sans oublier son climat, ensoleillé toute l’année, avec une eau dont le pic de fraîcheur n’est que de 27 degrés en moyenne, de janvier à mars. Le paradis, on vous dit. Ou du moins, une destination susceptible de vous offrir des pauses vachement plus attrayantes qu’un café filtre avalé à la va-vite dans votre kitchenette tristounette.
Selon CNBC, relayé en France par Slate, Mia Mottley, Première Ministre de la Barbade, a donc décidé de prendre des mesures pour “permettre à des personnes de venir télétravailler numériquement de l’étranger”, notamment en instaurant un visa d’un an pour les télétravailleurs. Seule condition? Montrer patte blanche et présenter un test négatif au COVID-19. Chéri.e, on fait les valises!
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