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Flair Book Club: ““La petite fille qui en savait trop””, polar palpitant en plein Bruxelles

Kathleen Wuyard

Parce que chez Flair, on adore tout partager avec nos lectrices,  on a créé la rubrique « Flair Book Club » où l’on vous fait part de nos coups de cœur littéraires. Aujourd’hui, on vous parle de « La petite fille qui en savait trop », le dernier Peter May, qui nous emmène dans un compte à rebours palpitant à travers les rues de la capitale.

Le résumé


Bruxelles, 1979. Alors que Neil Bannerman, un journaliste d’investigation envoyé par le Edinburgh Post, découvre les us et protocoles de la jeune Communauté européenne, un homme d’un tout autre calibre arrive lui aussi du Royaume-Uni. Ancien combattant des forces armées britanniques, Kale est devenu un tueur professionnel redoutable et s’il a rejoint le continent c’est pour une exécution.

Un crime qui serait parfait si une étrange petite fille, incapable de parler ni d’écrire, mais extraordinairement douée en dessin, n’en était le témoin. Tania saura-t-elle donner un visage à l’assassin de son père ? En aura-t-elle le temps ?

Bannerman, l’Écossais impliqué à son corps défendant dans le meurtre d’un compatriote, pourra-t-il prendre de vitesse un assassin qu’aucune pitié n’a jamais arrêté ? Et, tandis que les autorités belges et britanniques s’acharnent à étouffer une affaire aux ramifications politiques, parviendra-t-il à démêler les motivations du meurtre d’un homme que beaucoup considéraient comme le futur Premier ministre du Royaume-Uni ?

Pourquoi on aime


Quand le maître incontesté du polar écossais installe ses personnages à Bruxelles, cela fait souffler un vent de fraîcheur sur la capitale, et on se prend à tourner les pages à toute vitesse au gré de l’enquête palpitante, ravie de reconnaître ci et là des endroits bruxellois qui nous sont familiers. Ou comment se projeter au mieux dans l’histoire, rédigée d’une plume pleine de dextérité, qui distille les rebondissements avec brio pour garder l’intrigue passionnante jusqu’à la fin du roman.

En nous emmenant dans son compte à rebours infernal, Peter May réussit le pari périlleux de nous garder accrochées du début à la fin, fin qui parvient au demeurant à surprendre. Les accros du genre policier seront ravies, et les fans de Peter May trouveront leur auteur favori particulièrement en forme. Le genre de livre qu’on s’offre le vendredi pour le dévorer en un week-end.

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