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Black Mirror: ce qu’on a pensé de la saison 4 (plus flippante, tu meurs)

Justine Rossius

La saison 4 de “Black Mirror” est sortie la semaine dernière et on a eu vite fait de la binge-watcher. Verdict? Il faut avoir le cœur bien accroché pour survivre à cette nouvelle fournée.


 

Proposée par Netflix, “Black Mirror” est une série anthologique qui questionne les rapports entre les humains et la technologie, allant titiller nos angoisses les plus profondes pour mieux nous faire réfléchir. Hissée au rang de nos coups de cœur, c’est avec grande impatience que nous attendions la quatrième saison. Une nouvelle fournée qui s’est révélée bien plus dark encore que les autres, plus glauque surtout: pour faire simple, on a souvent eu l’impression de mater un petit film d’horreur. Zoom sur les 6 épisodes.

 

USS Callister


Le cofondateur d’une grosse entreprise de jeux vidéo se créé un jeu en ligne privée dans lequel il tient le rôle d’un chef de vaisseau spatial super narcissique et dans lequel il a la capacité d’enfermer certains de ses collègues…

 

On a aimé? Le thème du jeu n’avait pas encore été abordé par la série: ici, on comprend clairement que le capitaine du vaisseau spatial tente d’échapper à son existence de “looser” dans un univers fantastique. Mais malgré tout, on n’a pas complètement accroché à cet univers “Star Strek” bien geek.

 

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Arkange


Marie, mère célibataire, expérimente la peur de sa vie lorsqu’elle pense avoir perdu sa petite fille dans un parc. Elle décide alors de lui faire implanter une puce, permettant de suivre ses moindres faits et gestes.

 

On a aimé? Sans doute l’une des plus belle réussite de ce nouvel opus. Ici, la série pointe du doigt la technologie utilisée comme remède à des inquiétudes existentielles, mais aussi le lien perfide qui unit protection et contrôle ultime.

 

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Crocodile


Mia et son petit copain renversent accidentellement un cycliste, provoquant son décès. Ils décident alors de dissimuler le corps et de n’en parler à personne, jusqu’à ce que le petit copain en question décide de parler, des années pus tard. Mia n’a alors d’autre choix qu de s’en débarrasser… Seul hic? Elle sera confrontée à une enquêtrice bossant pour une compagnie d’assurance sur un autre accident, qui utilise une machine pour explorer les souvenirs de ses témoins.

 

On a aimé? Soyez prévenus: l’épisode est quasi insoutenable, tant il est glauque et sanglant. À la fin, tout part dans tous les sens et on a qu’une envie: que ça s’arrête. Cela dit, on aime particulièrement le dénouement de l’histoire, qui nous a tiré quelques rictus, malgré l’angoisse!

 

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Hang the DJ


Frank et Amy sont inscrits sur une application de rencontre, style Tinder, qui permet de déterminer la durée de la relation à l’avance et de trouver le partenaire parfait.

 

On a aimé? On a adoré! Le thème de le relation amoureuse 2.0, sujet inévitable à l’ère de Tinder, est ici parfaitement traité, nous laissant réfléchir à notre désir de contrôle et de technologie, même dans un domaine où seuls les sentiments importent.

 

 

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Metalhead


En explorant un entrepôt abandonné, trois personnes se retrouvent confrontées à un “chien”, soit un robot incontrôlable et sanguinaire, dont l’unique mission semble être d’abattre tous les humains.

 

On a aimé? Plus noir, tu meurs! L’épisode évoque le lien entre l’être humain et la machine de la manière la plus pessimiste possible. Tourné en noir et blanc, dans une ambiance quasi muette, l’épisode n’a pas réussi à nous embarquer dans sa chasse à l’homme horrifique. Un gros WTF. Cela dit, il revêt plus de sens une fois que l’on sait que les “Metaldogs” sont clairement inspirés de la réalité (merci Les Inrocks pour cette découverte qui nous fait bien flipper au delà du générique de fin…)

 

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Black Museum


Devant passer le temps, alors que sa voiture électrique recharge, une touriste décide de visiter le “Black Museum”, musée abritant les reliques de crimes technologiques. Le maître des lieux lui explique alors comment il a, à l’époque, découvert le moyen de transférer les sensations d’un humain à un autre. Et de transplanter une âme humaine… dans un objet.

 

On a aimé? Dans un même épisode, on retrouve trois mini-récits super intéressants. Le bémol: ces mini-histoires sont si palpitantes qu’on les aurait bien vu transposer en épisodes classiques #Frustration. Mais on a adoré l’histoire du médecin accro à la douleur et celle de l’ours en peluche!

 

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