Toutes les femmes ont leurs propres fantasmes, et comme chez Flair, on aime partager, une lectrice nous parle de son petit plaisir coquin préféré, à savourer seule ou à 2. Cette semaine, Isa raconte comment elle aimerait rencontrer sa nouvelle copine.
Isa, 28 ans, se sent prête pour une nouvelle relation.
Elle s’enflamme… pour toutes les odeurs agréables de l’automne.
Elle rêve parfois… de rencontrer sa future petite amie.
“Nous sommes déjà en octobre. Les robes d’été sont rangées au fond de mon armoire et mon appartement sent bon le chai latte et les brioches à la cannelle. Mon corps s’adapte lui aussi lentement à la nouvelle saison.
Seulement... cet automne, il ne suffira pas de se réchauffer avec des couvertures et du thé fumant. J’aspire à une autre sorte de chaleur. À sa chaleur. J’ai fait la connaissance de Nora dimanche dernier lors d’une promenade dans le parc, parmi les arbres aux couleurs rouge vif et dorées. Elle était assise sur un banc, un livre à la main et une écharpe moelleuse autour du cou.
Lorsque je suis passée à côté d’elle, nos regards se sont croisés et elle m’a souri.
Cela a suffi.
Je me suis retournée et lui ai demandé ce qu’elle lisait. Une brève conversation sur la littérature nous a menées à prendre un café, et un verre à un deuxième rendez-vous. Et ce deuxième rendez-vous à un troisième, ici et maintenant, dans mon appartement, tandis que la pluie tambourine doucement contre la fenêtre.
Je mets ses bottes mouillées de côté pendant qu’elle enlève son manteau.
« Viens », lui dis-je. « Réchauffons-nous. »
Elle me suit à l’intérieur. J’allume ma bougie parfumée préférée et mets une playlist avec des sons de guitare jazzy. Je n’y connais rien, mais ça correspond bien à l’ambiance. Nora s’avance vers moi d’un pas déterminé. Ses joues sont encore roses à cause du froid.
Notre troisième rendez-vous commence comme le précédent s’est terminé: par un baiser. D’abord timidement, comme si nous ne voulions pas briser l’ambiance. Jusqu’à ce que je goûte la touche de pumpkin spice sur ses lèvres et que mon désir pour elle s’éveille.
Je glisse mes mains sous son pull, sur les muscles tendus de son dos. Les siennes trouvent la fermeture éclair de ma robe en laine. Je sens le froid de ses doigts, mais cela ne fait qu’intensifier la chaleur qui s’ensuit. La robe glisse de mes épaules et virevolte joyeusement sur le sol comme les feuilles des arbres. Je ne porte qu’un ensemble de lingerie rouge foncé en dessous.
Ses mains agrippent mes hanches et elle me serre contre elle.Je la pousse en arrière vers le canapé. Elle s’affale et je m’installe sur elle, mes genoux de chaque côté de ses jambes. Dehors, le vent souffle, mais ici, il fait de plus en plus chaud, presque tropical. Je lui enlève son pull par-dessus la tête, puis je prends mon temps pour déboutonner son chemisier. Bouton après bouton, ses seins nus apparaissent. Ses tétons, qui durcissent visiblement à chaque bouton, réclament d’être caressés.
« Tu m’excites tellement », murmure-t-elle en passant ses mains autour de mes cuisses.
Je souris et me penche en avant pour que mes seins se pressent contre les siens. Nous nous embrassons avec plus de passion, et j’ai du mal à croire tout ce que cette fille peut faire avec sa langue. Cela promet pour plus tard.
Elle détache mon soutien-gorge. Je m’en débarrasse aussi vite que possible afin de pouvoir presser mes seins contre les siens, et pas seulement parce que cela me réchauffe. Nos tétons semblent se frotter l’un contre l’autre. Lorsque j’arrête de l’embrasser pour reprendre mon souffle, elle s’enfonce un peu plus dans le canapé. Sa tête se trouve désormais entre mes seins.
« Oh, magnifique », murmure-t-elle en remarquant mon piercing au téton, avant d’en suivre les contours du bout de la langue.
Je sens un picotement dans mon entrejambe. Et la façon dont elle me regarde dans les yeux me rend impatiente... Je ne peux pas garder mes hanches immobiles lorsqu’elle prend doucement mon téton entre ses lèvres. L’excitation me traverse comme un choc électrique, descendant tout droit vers le bas, où ma culotte humide colle désormais à ma peau.
Et pourtant, je murmure: « Toi d’abord », avant de glisser lentement de ses genoux jusqu’à me retrouver entre ses jambes. Elle porte encore son jeans, mais cela ne durera pas longtemps. Après tout, il n’y a qu’une seule chose que j’aime encore plus que la cardamome et la cannelle en automne: le goût irrésistible d’une première fois.
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