Toutes les femmes ont leurs propres fantasmes, et comme chez Flair, on aime partager, une lectrice nous parle de son petit plaisir coquin préféré, à savourer seule ou à 2. Cette semaine, Lynn, 26 ans, rêve de se faire plaisir seule.
Lynn, 26 ans, est fatiguée d’attendre qu’un homme la réchauffe.
Elle s’enflamme... pour les musiques sensuelles et entraînantes.
Elle rêve... de se masturber sans retenue.
“Il est 22 h 15 lorsque je jette l’éponge. Le thermostat se moque clairement de mon confort, et mon plaid en polaire ne parvient plus à réchauffer mes orteils glacés. Je soupire, me lève du canapé et dis à voix haute, sans m’adresser à personne en particulier:
« Tant pis, je vais me réchauffer toute seule. »
Je déverrouille mon smartphone, je vais sur Spotify et je fais défiler jusqu’à trouver ma playlist préférée. Une de celles qui vous donnent instantanément envie de bouger. Je vais me réchauffer en dansant, en commençant par mes hanches. Le premier morceau résonne dans l’enceinte Bluetooth avant même que je sois prête. J’enlève rapidement mes chaussettes, les laisse traîner au milieu du salon et me dirige vers le tapis, comme s’il s’agissait de ma scène. Une épaule réagit déjà avec souplesse, l’autre est encore raide à cause du froid. Je plie légèrement les genoux et laisse mes hanches se balancer lorsque mon poids bascule de gauche à droite.
Ce n’est pas encore très élégant, mais au moins, mon sang commence à circuler dans mon corps et ma température augmente légèrement. Je pose mes mains sur mes hanches. Ensemble, elles décrivent de grands cercles amples, jusqu’à ce que je laisse lentement glisser mes bras le long de mon corps vers le haut. Dès que je passe mes doigts dans mes cheveux ébouriffés, mon t-shirt remonte légèrement. Cela devrait me refroidir, mais c’est tout le contraire. Voir un peu de peau nue provoque justement un effet de chaleur.
Lorsque le rythme de la chanson ralentit, mon corps suit le mouvement. Je plie encore plus les genoux, ce qui fait que mes fesses ressortent, comme celles des twerkers que je suis sur TikTok. Je ne sais pas exactement comment ça marche techniquement, mais tout le monde peut se déhancher. Mes fesses se trémoussent sauvagement de haut en bas. Chaque secousse qui s’ensuit se propage vers l’avant. Vers mon sexe, qui devient non seulement plus chaud, mais aussi un peu humide.
Ce n’est sûrement pas très esthétique, mais c’est très agréable. Entre-temps, mon t-shirt commence à m’irriter sérieusement. Trop de tissu, trop présent. Je l’attrape par l’ourlet, le tire par-dessus ma tête d’un seul mouvement, comme une vraie strip-teaseuse, et le catapulte vers mon public imaginaire d’un geste de lasso. Pas de lente révélation pour moi, passons directement aux choses sérieuses, s’il vous plaît.
Et d’ailleurs, qui a dit qu’il faisait froid ici ?
Mon thermomètre interne atteint désormais des sommets tropicaux. Je passe mes doigts sur les bretelles de mon soutien-gorge, puis je saisis mes seins. Je les pousse vers le haut et les secoue d’avant en arrière. Mes tétons, qui deviennent de plus en plus durs, apparaissent à travers le tissu transparent. De chaque côté, je glisse mes pouces et mes index derrière les bonnets et commence à jouer avec mes tétons comme s’ils réglaient le volume d’un haut-parleur. Ou du moins celui de mon désir. Je suis désormais très excitée. Je retire donc ma main droite de mon soutien-gorge et la descends.
Mes 5 doigts glissent derrière le tissu de ma culotte et trouvent l’endroit le plus chaud de tout mon corps. Et le plus gonflé aussi.Je n’ai aucun mal à trouver mon clitoris, et encore moins à le faire délicieusement vibrer. Je le caresse avec tous mes doigts à la fois. En cercles, en 8, dans des mouvements violents de haut en bas. Plus je frotte mon sexe avec violence, plus je commence à danser à côté du rythme. Mais qu’importe? Je ne me sens pas juste chaude, je me sens brûlante.
Même mes oreilles brûlent, et pourtant j’en veux encore plus. Je glisse également ma deuxième main dans ma culotte, ce qui me permet de continuer à me caresser avec l’une, tandis que je me doigte avec l’autre. Mon index et mon majeur glissent facilement à l’intérieur, et plus ils vont et viennent, plus ma danse ressemble à du headbanging. C’est tellement excitant que plus rien d’autre ne m’importe à ce moment-là.
À part cette chaleur qui monte lentement de mes orteils jusqu’à mes oreilles, jusqu’à ce que je jouisse en gémissant. C’est un moyen très économique de se réchauffer, et c’est bon pour l’immunité en hiver.
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