Gen F

En rejoignant la communauté, vous recevez un accès exclusif à tous nos articles, pourrez partager votre témoignage et…
© LONDON - MARCH 22: A shopper leaves the Abercrombie & Fitch UK Flagship Store on Savile Row on March 22, 2007 in London, England. The store opened its doors today and is the labels first London branch. (Photo by Gareth Cattermole/Getty Images)

D’anciens employés d’Abercrombie & Fitch révèlent l’envers du décor

Kathleen Wuyard

Véritable incontournable au début du nouveau millénaire, Abercrombie & Fitch a réussi bien avant l’arrivée des réseaux sociaux à capitaliser sur le concept d’influenceur et à nous donner envie de ressembler aux mecs et filles canon qui bossaient dans les boutiques et posaient sur les affiches. Mais l’envers du décor était-il aussi attirant?


Oui et non, s’il faut en croire les confessions partagées récemment par d’anciens employés d’Abercrombie & Fitch en commentaire du site BuzzFeed. Pour rappel, le label était pourtant le vendeur de rêve originel, quelques années avant que tous vos potes Facebook ne vous agacent en choisissant ça comme fonction dans la catégorie “métier” de leur profil. Mais on divague. Abercrombie, c’était avant tout ces catalogues remplis de célébrités sublimes auxquelles on rêvait de ressembler (ou qu’on rêvait d’embrasser), entre Sienna Miller, Jennifer Lawrence, Channing Tatum, Ashton Kutcher, Jamie Dornan ou encore Lindsay Lohan.


L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.


L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

Abercrombie & Fitch, ton univers impitoyable?


Si on ne pouvait pas s’offrir leur train de vie, ni leur beauté inatteignable, on pouvait tout de même acheter les vêtements de la marque, arborer fièrement les sachets pour transporter nos fardes de cours dedans et s’asperger généreusement du parfum siglé Abercrombie & Fitch. Tiens le parfum, parlons-en justement: ainsi que l’a confié une des commentatrices, durant chaque shift, il y avait une personne en magasin dont le rôle était d’asperger chaque vêtement du nouveau parfum de la marque toutes les trente minutes. Plutôt répétitif, mais moins pénible que de devoir plier des vêtements à la chaîne. Un pliage pris visiblement très au sérieux, puisqu’un autre commentateur a pour sa part affirmé que lors des sessions d’orientation, on précisait aux futurs employés que leur job n’était pas d’interagir avec les clients mais bien de “plier les vêtements et d’avoir l’air sexy dedans”.


L’affichage de ce contenu a été bloqué pour respecter vos choix en matière de cookies. Cliquez ici pour régler vos préférences en matière de cookies et afficher le contenu.
Vous pouvez modifier vos choix à tout moment en cliquant sur « Paramètres des cookies » en bas du site.

Et ce, à n’importe quel prix puisque les employés masculins devaient porter leurs jeans une taille plus grande afin qu’on voie leurs sous-vêtements (de la marque A&F, of course) tandis que leurs t-shirts, eux, devaient être une taille plus petite pour bien mettre leur musculature en avant. Gare par contre à ceux qui voulaient se la jouer sexy avec une barbe de trois jours: “on devait toujours être rasés de près et si ce n’était pas le cas, un vieux rasoir rouillé traînait dans les toilettes du personnel pour se raser avant le service” affirme pour sa part Holdenl2. Le pire? Une commentatrice du nom de Nathalie raconte quant à elle qu’il était interdit aux employés du magasin de porter des vêtements soldés quand ils travaillaient, et qu’elle et ses collègues dépensaient donc la plus grande partie de leur salaire pour acheter de nouveaux vêtements Abercrombie & Fitch. Un petit prix à payer pour avoir un job qui rendait tous les autres ados verts de jalousie?

Lire aussi: 

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Contenu Partenaire

Message Commercial