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© USA, New York State

Un chercheur s’est intéressé à l’aspect psychologique des plans à trois

Kathleen Wuyard

En 2019, les plans à trois ne sont plus aussi marginalisés qu’avant, mais la pratique reste largement incomprise, vue tantôt comme délurée, tantôt carrément déviante. Mais qu’en est-il en vrai, et pourquoi ceux qui s’y adonnent sautent-ils le pas? Un scientifique s’y est intéressé afin de mieux comprendre la psychologie derrière le sexe groupé.


Verdict? Sans véritable surprise, les motifs des hommes et des femmes sont fondamentalement différents. C’est en tout cas ce qu’affirme le docteur en sociologie Ryan Scoats dans son dernier ouvrage, consacré entièrement à la compréhension des plans à trois. Première trouvaille: contrairement aux hommes, qui apprécient le ratio 1 mec-2 femmes, les femmes, elles, ont plus tendance à choisir des plans à trois mixtes, afin de pouvoir explorer leur sexualité au passage. Dans le cas de couples hétérosexuels, il semblerait exister un accord tacite qui fait que si un des deux partenaires donne son accord pour une triplette avec un partenaire du même sexe, l’autre réciproque la faveur.

À charge de revanche


Autre constat: chez certaines femmes hétérosexuelles en couple, le plan à trois est vu comme un moyen de “rembourser une dette” si leur partenaire a été infidèle. Et de citer l’exemple d’une femme mariée qui, apprenant que son partenaire l’avait trompée en ayant un coup d’un soir à trois, à demandé qu’il “paye sa dette” en ayant un nouveau plan à trois, mais avec elle cette fois. Peut-être qu’on lave son linge sale en famille, mais visiblement, pas quand il s’agit du petit linge, qu’on étale gaiement à trois au lit...

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