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““Chéri, je veux bien aller avec toi au Standard, mais pour la gastronomie””

Kathleen Wuyard

Dans la vie, personne n’est parfait, et le mec de nos rêves peut très bien s’avérer avoir un petit défaut. Une passion pour le foot qui l’emmène au stade quasi tous les week-ends, par exemple. Plutôt que de bouder, on l’accompagne, et on en profite pour lui faire la surprise de découvrir le bijou de resto qui se cache dans le stade de Standard. 

Parce que non, dans le chaudron de Sclessin, il n’y a pas que la T3 et les ultras, loin de là. D’ailleurs, après un premier établissement plus que réussi à Waremme, le Noir du Poivre, c’est ici que Nicolas et sa soeur Caroline ont décidé d’ouvrir leur deuxième établissement, le Rouge du Poivre. Rouge, comme la couleur du Standard, mais aussi et surtout comme la couleur de l’amour. Et ici, les papilles sont en lice pour un sacré coup de foudre.

La première (très jolie) surprise: plutôt que de jouer la carte de la facilité en déclinant les couleurs du club dans le restaurant, Caroline et Nicolas ont choisi une ambiance ultra cosy mêlant cuir, métal et couleurs foncées pour un rendu très loft new-yorkais. Le cadre est chic et accueillant, et dès la lecture du menu, on salive. Comme au Noir du Poivre, on retrouve à la carte des influences tout droit venues d’Italie, mêlées aux codes de la gastronomie française pour un résultat plus que réussi dans l’assiette.

Et si la carte change environ toutes les 6 semaines pour permettre à Nicolas de préparer les ingrédients les plus frais possibles, que les gourmands se rassurent: le risotto crémeux et fondant qui a fait la renommée de la maison est toujours au menu. Peu importe le sort du Standard, une visite au Rouge du Poivre est toujours gagnante, et les fous de foot seront ravis de faire un détour par la terrasse qui se trouve en plein coeur du stade. We are the best!

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