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© Sony Pictures

ON A VU: ““Là où chantent les écrevisses””, une ode à la nature et à l’amour

Ana Michelot
Ana Michelot Journaliste

Sorti l’été dernier, le film « Là où chantent les écrevisses » vient tout juste d’être disponible en streaming sur My Canal. On a sauté sur l’occasion pour regarder le long-métrage adapté du best-seller éponyme.

Bien que nous n’ayons pas lu le roman original « Là où chantent les écrevisses » écrit par Delia Owens, le film nous a tout de suite attiré par son actrice principale qui n’est autre que Daisy Edgar-Jones, révélée dans la série « Normal People », elle aussi adaptée d’une oeuvre littéraire. Et nous n’avons pas été déçues par sa prestation dans « Là où chantent les écrevisses » où elle incarne à la perfection Kya, l’héroïne sauvage et attachante que le village entier surnomme « La fille des Marais ». Réalisé par Olivia Newman, ce long-métrage plein de poésie nous plonge au cœur des années 60, entre une esthétique somptueuse et un scénario aussi énigmatique qu’haletant.

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Le résumé

« Kya, une petite fille abandonnée, a grandi seule dans les dangereux marécages de Caroline du Nord. Pendant des années, les rumeurs les plus folles ont couru sur la “Fille des Marais” de Barkley Cove, isolant encore davantage la sensible et résiliente Kya de la communauté. Sa rencontre avec deux jeunes hommes de la ville lui ouvre un monde nouveau et effrayant ; mais lorsque l’un d’eux est retrouvé mort, toute la communauté la considère immédiatement comme la principale suspecte. À mesure que la vérité sur les événements se dessine, les réponses menacent de révéler les nombreux secrets enfouis dans les marécages. »

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Pourquoi on a adoré ?

Pour l’aspect hybride du film qui mène avec brio deux intrigues parallèles, celle du procès dans lequel Kya est accusée de la mort de Chase Andrews, un jeune homme du village, mais également le destin de cette jeune femme qui vit hors de la société. On y suit ses histoires familiales, amoureuses et sa relation unique à la nature qui l’entoure. De sa collection de plumes, à ses dessins naturalistes extrêmement précis qu’elle fait sécher dans sa cabane au fond du marais, on a adoré découvrir son univers. On a également apprécié les sujets abordés dans le film comme les violences faites aux femmes, l’enfance lorsqu’on est livré·e à soi-même, la vie dans un village où chaque fait et geste est épié et où il est si facile d’être stigmatisé... Mais surtout pour la fin qui nous a marquées. Le film se termine sur un plot twist final étonnant teinté de féminisme et une belle morale : deux personnes qui s’aiment, se retrouvent toujours.

« Là où chantent les écrevisses », disponible sur MyCanal ou en VOD sur PrimeVidéo. 

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