@PlusTrenteDeux: la nouvelle série Instagram de la RTBF à suivre d’urgence
“+32”: c’est la nouvelle série RTBF à suivre sur Instagram, qui retrace le parcours de 6 Belges, venus du Vietnam, de Syrie, d’Equateur, d’Albanie, du Maroc et du Congo. Leur point commun? Avoir la Belgique comme terre d’accueil.
Si vous passez, comme nous, beaucoup (trop) de temps sur Instagram en ce moment, rentabilisez vos scrolls en suivant le compte Instagram @PlusTrenteDeux. Le concept? Tous les lundis et jeudis, un nouvel épisode y est diffusé, retraçant les aventures de 6 Belges venus d’au-delà nos frontières. Ainsi que l’expliquent les créateurs de la série:
La série nous plonge au coeur de la migration dans son infinie diversité pour n’en laisser que l’essentiel: l’humain. Des récits poignants et attachants, ponctués d’éclats de rire et de larmes.
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Au fil des prochaines semaines, et ce, pendant 3 mois, on découvrira sur notre écran de smartphone le récit de Georges, qui a grandi en Syrie et qui n’est autre que le créateur de My Tannour (restaurant qui régale autant qu’il cartonne); celui de Mehdi, originaire d’Espagne et du Maroc et joueur de football emblématique du Standard de Liège. Phung, aussi, qui a fuit la terreur du régime communiste vietnamien; Palma, qui a quitté l’Equateur et qui tient aujourd’hui un fritkot réputé à Bruxelles (celui-là est déjà en ligne!) et encore d’autres histoires qui s’annoncent d’autant plus passionnantes qu’elles sont réelles et bien de chez nous. Les capsules vidéos ont été réalisées par Benoit Do Quang et Pablo Crutzen Diaz, les illustrations animées par la talentueuse Lia Bertels et la série coproduite par Gable’o’Matic. Les capsules calibrées pour Instagram sont léchées, attractives et ludiques, et le contenu qu’elles renferment, précieux. Car la question de la migration est au cœur des débats, se glisse souvent dans nos journaux pour envelopper des nouvelles peu réjouissantes et est fréquemment dépeinte au travers de statistiques brutes et froides, ne laissant que très peu de place à l’aspect humain. Derrière le mot “migration”, pourtant, il n’y a que ça: des humains qui ont fuit la peur, qui jonglent avec deux nationalités, il y a aussi des sourires qui réchauffent autant qu’un ravier de frites sauce “Sepaway”, des accents délicieux et des récits qui méritent d’être écoutés. Et en temps de confinement, c’est sur Instagram qu’il faut ouvrir nos oreilles et les consciences.
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