Gen F

En rejoignant la communauté, vous recevez un accès exclusif à tous nos articles, pourrez partager votre témoignage et…
© Getty Images

La règle des 4 cadeaux, l’astuce pour gâter intelligemment votre enfant à Noël

Gwendoline Cuvelier Journaliste

Chaque Noël, c’est la même chose: votre enfant croule sous une montagne de jouets et il ne sait plus où donner de la tête. Et si, cette année, on suivait la règle des 4 cadeaux? On vous explique ce concept brillant!

Cette tradition née au Royaume-Uni consiste à offrir 4 cadeaux à chacun de ses enfants, pas un de plus, pas un de moins, et pas n’importe lesquels.

Lire aussi : Liège: avec le Père Noël vert, les enfants défavorisés ont aussi droit à un Noël magique

La règle des 4 cadeaux

Le principe est d’offrir un cadeau pour chacune des catégories suivantes:

  1. want: un cadeau dont l’enfant a envie.
  2. need: un cadeau dont l’enfant a besoin.
  3. wear: un cadeau que l’enfant pourra porter.
  4. read: un cadeau qui se lit.

Cette astuce privilégie la qualité à la quantité et incite les parents à offrir des objets qui seront réellement utilisés. Le but: éviter la surconsommation sans perdre la magie de Noël!

Avec ce système, votre fils/fille pourrait donc recevoir une poupée, un nouvelle boite à tartine, un pull et un livre. Bien sûr, libre à vous d’adapter cette liste et de troquer le vêtement contre une activité à faire ensemble par exemple.

Des enfants pourris gâtés?

Les avantages de la règle des 4 cadeaux sont nombreux. “Les cadeaux offerts seront tous vraiment utiles. C’est aussi une excellente façon de responsabiliser les enfants qui devront très bien choisir le cadeau qu’ils souhaitent réellement. De plus, avec peu de cadeaux pour ce genre d’occasion, les enfants auront tendance à bien plus les apprécier et à comprendre la valeur de chacun de ces présents” est-il expliqué sur le site Super Parents.

Getty Images

S’il est trop gâté, l’enfant n’apprend pas la frustration. Dès le plus jeune âge, il doit apprendre à faire des choix, à avoir des déceptions, à ne pas voir toutes ses envies assouvies.

précise la psychanalyste Valérie Sengler, interrogée sur le sujet, au Point.

Et maintenant, il ne reste plus qu’à faire passer le message aux grands-parents...

Lire aussi:

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Nos Partenaires