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5 bonnes raisons de bouquiner

Moral en berne? Insomnie? Temps maussade? C'est le moment idéal pour se glisser sous un plaid, avec un bon livre. La lecture a même des effets bénéfiques sur notre corps.

 

1. La lecture est un bon moyen de lutter contre le stress

Selon une étude réalisée par l'université de Sussex, la lecture est le moyen le plus efficace de lutter contre le stress: lire un livre serait plus effectif que de boire une tasse de thé ou que de faire une promenade. L'explication est simple: se plonger dans une histoire et se laisser prendre par celle-ci permet d'échapper aux soucis du quotidien.

 

2. La lecture est un excellent antidépresseur

La bibliothérapie connue aussi comme étant la lecture de livres sur le développement personnel, est efficace contre les dépressions. Une étude réalisée par l'univeristé de Glasgow révèle que cette pratique couplée à des sessions d'explication sur l'utilisation de tels livres a donné lieu à moins de dépressions en un an par rapport aux patients suivant une psychothérapie.

 

3. La lecture permet de mieux dormir

Des difficultés pour vous endormir? Lisez un bon livre! Selon des experts en sommeil, cela aiderait à préparer le corps au sommeil et à relaxer l'esprit.

 

4. La lecture améliore l'intelligence émotionnelle

Une récente étude a montré que la lecture d'œuvres littéraires permet d'augmenter la capacité à reconnaître les émotions des autres. En lisant des romans de grande littérature, on mobiliserait notre propre interprétation pour mieux comprendre les personnages complexes. Cela aurait une incidence sur notre vie de tous les jours car on ferait également appel à ce savoir-faire au quotidien.

 

5. La lecture réduit les risques d'Alzheimer

Selon une étude, les personnes qui exercent une activité intellectuelle dans laquelle le cerveau joue un rôle important, comme les mots croisés, le sudoku ou la lecture, ont moins de chances d'attraper la maladie d'Alzheimer. Les chercheurs ont toutefois précisé que ce n'était pas une relation de cause à effet, mais plutôt une association: l'inactivité cérébrale pourrait représenter un facteur à risque de développement de la maladie.

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