"Planète X: l'arrivée 2017", le livre révélateur
À l'origine de cette prédiction: le chercheur David Meade. Dans un livre intitulé "Planète X: l'arrivée 2017", il explique comment une planète, encore inconnue au bataillon, serait supposée se crasher sur la Terre et nous faire disparaître à tous.
Cette fin du monde, située entre le 23 septembre et le 5 octobre, devrait signer la fin totale de la vie telle qu'on la connaît. Selon David, cette planète X devrait éclipser le soleil à partir du 23 septembre et finir sa course le 5 octobre 2017 sur nos figures. Comment se fait-il que nous n'ayons aucune information là-dessus? Pour David, ça coule de source:
Le public n’est pas informé délibérément pour éviter la panique. Les tremblements de terre ont considérablement augmenté à la fois en nombre et en intensité. Les tempêtes se multiplient également. Des trous et des fissures apparaissent dans la croûte terrestre... enfin les vagues de chaleur se renforcent et durent plus longtemps.
Une fin du monde, encore une?
La fin atroce de nos jours, on nous l'avait déjà prédite. Après le 21 décembre 2012 et le 21 août 2017, il semblerait que cette fois-ci, les chercheurs se soient accordés sur octobre 2017.
Si l'on dit "les" chercheurs, c'est tout simplement parce que David Meade n'est pas le seul à avancer cette fin tragique. Robert Vicino, un entrepreneur, s'est également confié au magazine DailyStar:
Il n’y a aucun doute que cela arrive. Ça va être épique, tout droit sorti de la Bible. Si vous survivez et que vous êtes blessés, brûlés par le rayonnement, vous terminerez à tenter de survivre sur une planète détruite avec les rats et les quelques survivants, ça sera l’enfer !
Alors, coup de bluff ou coup de pub? On ne sait pas vous, mais nous à la rédac', on se demande si ces fins du monde ne sont pas tout simplement un prétexte à produire plus de films catastrophe comme "2012", "This is the end" ou "le jour d'après". Enfin, si c'est vraiment la fin du monde, il ne nous reste plus qu'à appeler le sauveur de ces dames en chef: Mr Bruce Willis.
Source: Metro.
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