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strip tease
© Getty Images

SOUS LA COUETTE: ““Je reste un instant immobile, complètement nue et penchée en avant””

La rédaction

Toutes les femmes ont leurs propres fantasmes, et comme chez Flair, on aime partager, une lectrice nous parle de son petit plaisir coquin préféré, à savourer seule ou à 2. Cette semaine, Élise, 29 ans, confie son désir de surprendre son petit ami avec un strip tease.

Élise, 29 ans, est fiancée à son petit ami depuis cet été.

Elle s’enflamme… pour le regard de son homme quand il l’admire.

Elle rêve de… le séduire avec un strip-tease.

Texte: Elien Geboers

Quand il rentre du travail, Marc s’affale dans le fauteuil en poussant un profond soupir. Il n’a pas encore remarqué que je me cache dans le couloir. Je le vois à travers la fente de la porte. Sa chemise est encore boutonnée, mais sa cravate est déjà de travers. Je suppose donc qu’il est prêt pour un peu de distraction. Et cette distraction, j’y pense moi-même depuis le début de la journée.

Comment vais-je le séduire?

Lentement, sans précipitation.Lorsque je passe du hall au salon, il fait mine de se lever.

« Reste assis, chéri »,

lui dis-je d’une voix douce, tout en me plaçant contre le montant de la porte. À l’expression qui apparaît sur son visage, je comprends qu’il remarque seulement maintenant ce que je porte. Il sourit, se penche en arrière et croise les bras.

« Tu vas travailler comme ça? », ricane-t-il.

Je porte une nuisette lavande avec une bordure en dentelle et des empiècements transparents très bien placés. Mignonne et innocente à première vue, mais pas tout à fait, bien sûr. Mes doigts caressent l’ourlet de la nuisette. Je la soulève juste assez pour dévoiler mes cuisses. Ses yeux suivent mon mouvement et se mettent à briller un peu plus. Je laisse retomber le bas de la nuisette et me tourne lentement d’un quart de tour pour qu’il puisse voir mon dos. Lentement, je glisse un doigt sous la première bretelle et la fais descendre après quelques manipulations ludiques. Avant de faire glisser la deuxième bretelle, je balance mes hanches d’avant en arrière, de manière provocante.

Lorsque les 2 bretelles ne tiennent plus qu’au bout de mes doigts et que j’ai suffisamment fait mon show, je laisse glisser la nuisette le long de mon corps et m’en débarrasse. J’avais acheté spécialement pour lui le petit ensemble de lingerie dans lequel je suis en train de me pavaner: de la dentelle d’un blanc immaculé et juste assez de tissu pour dissimuler un peu, mais aussi pour suggérer plus. Il respire profondément, de manière ostensible.

« Mon Dieu, tu es belle », soupire-t-il, mais je pose mon doigt sur mes lèvres.

« Ne dis rien pour l’instant. Contente-toi de regarder », lui dis-je.

Je fais glisser mes mains sur mon corps. D’abord le long de mon cou, puis sur mes seins. Je les pince doucement. Lorsque mes tétons durcissent, ils transpercent le tissu fin de mon soutien-gorge. Mes hanches continuent de se balancer, mon ventre se tend légèrement. Je sais qu’il suit chacun de mes mouvements, qu’il absorbe chaque détail avec ce regard avide dans les yeux.

D’une main, je détache l’agrafe de mon soutien-gorge. De l’autre, je retiens encore un instant les bonnets. Je joue avec la tension, avec le désir que je peux sentir flotter dans l’air. Jusqu’à ce que je n’en puisse plus moi-même et que je laisse tomber le soutien-gorge sur le sol. Mes tétons deviennent instantanément encore plus durs maintenant qu’ils sont exposés à l’air frais. Je me caresse, tout en regardant délibérément par-dessus mon épaule, droit dans ses yeux. Il se penche légèrement en avant sur le canapé, les mains serrées sur ses genoux, comme s’il devait se retenir. Je dois moi aussi me contrôler, mais surtout pour ne pas éclater de rire.

Je concentre donc mon attention sur ma culotte. Hop, un doigt derrière le bord et le jeu recommence: le bord descend légèrement, puis remonte et redescend, chaque fois un peu plus bas. J’entends sa respiration s’accélérer. Lorsque la tension entre nous est à son comble, je me penche en avant pour lui présenter mes fesses, je glisse mes pouces sur les côtés de ma culotte et la fais lentement glisser vers le bas, jusqu’à ce qu’elle tombe doucement sur le sol.

Je reste un instant immobile, complètement nue et penchée en avant, et je lui laisse le temps de bien imprégner son regard de cette image. Putain, oui, bébé. Je me sens si puissante, si maîtresse de moi-même. Entièrement à lui, mais aussi entièrement à moi-même.

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