Toutes les femmes ont leurs propres fantasmes, et comme chez Flair, on aime partager, une lectrice nous parle de son petit plaisir coquin préféré, à savourer seule ou à 2. Cette semaine, Anne, 31 ans, rêve de faire un enfant avec son compagnon.
Anne, 31 ans, s’est mariée l’année dernière avec l’homme de ses rêves.
Elle s’enflamme... pour le dirty talk.
Elle rêve... de faire un enfant avec lui.
La seule lumière qui pénètre dans notre chambre ce soir provient de la fente de la porte de la salle de bains. Mon mari l’ouvre un peu plus. Lorsqu’il se tourne vers notre lit, je vois dans la pénombre que son pénis est déjà en érection. Il se glisse rapidement sous les couvertures, presse son corps contre le mien et commence à me caresser les côtés. Chaque poil de mon corps se hérisse.
Je me blottis encore plus profondément dans ses bras, lui prends les mains et lui offre mes seins. Il durcit mes tétons avec ses 2 mains. Son pénis frotte contre ma cuisse nue. Quand il vient s’allonger sur moi peu après, le bout de son pénis glisse lentement en moi. Il gémit lorsque son érection disparaît en moi, le long de mes parois veloutées. C’est le moment que j’attends depuis le début de la journée, car ce soir, il veut garder son pénis en moi le plus longtemps possible et déverser chaque goutte de son sperme en moi. Ce soir, il veut que je puisse tomber enceinte.
Et j’ai hâte.
Mon intérieur masse son érection dure comme de la pierre, tandis qu’il continue à jouer avec mes seins et à enfoncer son pénis dans mon sexe encore et encore. Mon intérieur humide l’enveloppe avidement et se mélange déjà à chaque goutte de liquide pré-séminal qu’il me donne. Je le regarde. Peut-il voir dans mon regard à quel point je me sens aimée, comblée? Il s’agenouille et me tire vers lui.
« S’il te plaît », lui murmure-je à l’oreille. « Donne-moi autant de plaisir que tu peux ce soir. »
Je commence à me balancer doucement et serre mon sexe encore plus fort autour de son pénis. Ses testicules lourdes touchent mes fesses. D’une main, je les masse, j’ai l’impression qu’elles vont éclater à travers son pénis à cause de la quantité de sperme qu’il a accumulée pour moi. À chaque coup de rein, je gémis et je geins de plus en plus fort, jusqu’à ce que mes yeux se détournent du désir et que l’anticipation devienne tout simplement trop forte pour moi. C’est donc moi qui explose la première, au sommet de son érection qui bat.
« Oh, s’il te plaît, chéri », gémis-je. « Recouvre tout mon intérieur. Je veux porter ton enfant. Je veux sentir comment tu me mets enceinte maintenant. »
Il caresse mes hanches, puis les saisit fermement pour m’attirer encore plus profondément en lui et pouvoir s’enfoncer le plus loin possible en moi. Il me fait l’amour plus profondément qu’il ne l’a jamais fait auparavant. Je me tais, ferme les yeux et ne peux penser qu’à une chose: j’espère que c’est le moment où je deviens maman. Son pénis est maintenant très gonflé. Je sais simplement que la fin approche. Et puis il prononce les mots les plus excitants que je puisse imaginer:
« J’ai hâte de voir tes seins se remplir de lait et de voir notre enfant grandir dans ton ventre. »
Sa promesse me rend folle et nous haletons maintenant ensemble, plus fort et en parfaite synchronisation avec ses coups de reins. Il commence soudain à me pénétrer encore plus fort, prend mes jambes dans ses bras et se retire presque entièrement pour se réenfoncer ensuite, plus profondément que je ne l’aurais cru possible, et le jeu commence vraiment. Son pénis reste en moi toute la nuit.
Et chaque fois qu’il redevient dur, nous faisons l’amour encore et encore, avec autant de conviction et d’espoir à chaque fois. Jamais auparavant je ne m’étais sentie aussi connectée à lui pendant l’amour. À partir de demain, tout peut changer dans notre vie.
À partir de ce moment, nous pourrons enfin être maman et papa...
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