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Comment une étudiante a inventé l’Invisibobble (et est devenue millionnaire)

Kathleen Wuyard

Invisible ou coloré, l’Invisibobble permet d’attacher ses cheveux sans les abîmer ni trop tirer, et est rapidement devenu l’accessoire incontournable de toutes les filles aux cheveux suffisamment longs pour les nouer. À l’origine de cette invention à succès, l’histoire presque tirée par les cheveux d’une étudiante de 18 ans aujourd’hui millionnaire.


Ils sont sur toutes les têtes de l’open space, à votre poignet quand vous prévoyez un changement capillaire en cours de journée, sur les étagères des magasins spécialisés mais aussi déclinés en versions de toutes les couleurs, de la plus sobre à la plus osée, déclinés en modèles de chez Di à Hema en passant par H&M. Transparents, résistants et délicats à la fois, les Invisibobble ont envahi l’espace public en 6 ans seulement et sont désormais incontournables. Mais au fait, qui a eu l’idée d’offrir cette alternative aux élastiques à cheveux traditionnels?

 

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Elle s’appelle Sophie Trelles-Tvede, elle est d’origine suisse, et elle avait 18 ans seulement quand l’idée lui est venu après une soirée déguisée à l’université. Vous vous êtes déjà fait la réflexion que votre élastique à cheveux ressemblait un peu à un cordon de téléphone? Figurez-vous que c’est exactement là que Sophie a trouvé son inspiration. Alors étudiante à l’université de Warwick, elle est invitée à une soirée déguisée avec pour thème “tout sauf des vêtements”. Au moment de partir, un vieux câble de téléphone esseulé attire son attention et elle décide de s’en servir pour s’attacher les cheveux.... Et le reste appartient à l’Histoire.

 

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Ou plutôt, fait partie de l’histoire de “100 million hair ties and a vodka tonic”, le récit de l’incroyable récit entrepreneurial de Sophie. Qui s’est réveillée le lendemain de sa soirée avec une sacrée gueule de bois, mais sans mal de tête, son élastique improvisé ne lui ayant pas trop tiré les cheveux, et n’ayant pas non plus laissé la moindre marque au réveil dans sa chevelure contrairement aux “plis” des élastiques traditionnels. Là où d’autres se seraient réjouies de cette bonne fortune en lendemain de veille, Sophie, elle, a passé ses vacances de Noël à bûcher sur un prototype qui ne fasse pas appel à de vieux cables... et en a tiré une véritable fortune.

 

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Lancés en 2013, ses Invisibobbles ont rapporté plus de 7 millions d’euros dès leur première année, et ont aujourd’hui fait des émules, chaque boutique en proposant sa propre version. Un succès qui a notamment valu à Sophie de rejoindre le club très prisé des entrepreneurs recensés par Forbes. Nous, pendant ce temps, en lendemain de veille, on invente des “remèdes à gueule de bois” à base de junk-food hyper grasse, et malheureusement, on n’est pas certaines que ça va nous rendre millionnaires...

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