““L’ultime cadeau””, la vidéo choc qui rappelle l’importance des gestes barrières
Diffusée ce vendredi 12 septembre, la campagne vidéo française “L’ultime cadeau” a rapidement fait le buzz sur les réseaux. C’est que le spot, destiné à rappeler l’importance des gestes barrières, n’y va pas par quatre chemins pour faire passer le message.
“On peut tous être touchés, alors on doit tous se protéger. Ensemble continuons d’appliquer les gestes barrière”. Le message tourne en boucle depuis des mois, mais dans la campagne diffusée en France ce vendredi 12 septembre, il est particulièrement marquant. Pourquoi? Parce qu’en 1 minute et 2 secondes seulement, la vidéo montre l’impact dangereux que peut avoir le non-respect des gestes barrières. Un impact dangereux, voire même mortel.
https://www.facebook.com/MinSoliSante/videos/894815394255653/
Des gestes barrières pour (se) protéger
Dans les premières secondes du spot, Alice enlève son masque pour faire la bise à Antoine, deux ados s’enlacent brièvement avant que l’un d’eux ne rejoigne sa famille pour l’anniversaire de sa maman, à qui il fait un gros câlin, toujours sans masque, au moment de souffler les bougies, moment auquel Antoine, qui s’avère être son mari, lui pose un tendre bisou sur la joue. Une heureuse maman que l’on aperçoit intubée sur un lit d’hôpital dans la scène suivante, où des soignantes s’inquiètent qu’elle “désature”. On l’aura compris, une voix off le rappelle: “on peut tous être touchés”, même ceux et celles qui n’ont touché personne, à part leurs proches. D’où l’importance d’appliquer les gestes barrières, soit pour rappel: se laver fréquemment les mains, porter un masque, éviter de se toucher les yeux, le nez ou la bouche, se couvrir le nez et la bouche avec le pli du coude ou un mouchoir en cas d’éternuement, respecter la distanciation sociale et rester à la maison si on ne se sent pas bien. Des gestes dont l’Ordre des médecins français rappelle qu’eux “seuls permettent de se protéger, et de protéger ses proches et nos concitoyens les plus vulnérables”.
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