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© Disney

4 raisons de foncer voir Star Wars 9 au cinéma

Barbara Wesoly

Aujourd’hui débarque dans les salles le 9ème épisode de la saga Star Wars. Et pour ceux qui hésiteraient encore à s’offrir une plongée dans l’hyperespace, voici toutes les raisons de se précipiter au cinéma voir “L’Ascension de Skywalker”.


Les accros à la science-fiction considèreront surement la question comme une hérésie, se demandant comment on peut ne serait-ce qu’envisager de ne pas aller voir le nouvel opus de la saga créée par George Lucas il y a 42 ans. Mais pour ceux dont les sabre-lasers et la lutte entre la Force et le Côté Obscur sont loin d’être la tasse de thé, voici toutes les raisons de foncer malgré tout dans les salles obscures.

Pour comprendre le phénomène


Depuis la sortie de La Guerre des Etoiles en 1977, la planète entière vibre pour une galaxie très très lointaine. Star Wars c’est plus de 9 milliards de recettes cinématographiques en quatre décennies. 9 épisodes, 3 spin-offs, plusieurs séries et animés, des dizaines de livres et jeux vidéos et des centaines d’objets dérivés. Au-delà de l’amour ou non de la science-fiction, on assiste à un véritable phénomène culturel comme artistique, qui a bercé des générations entières de son univers. Et à l’image de l’espace et de ses bouleversements constants, les trois trilogies qui composent la saga sont aussi connectées que totalement divergentes. Il est donc tout à fait possible d’accrocher aux trois premiers épisodes, de détester les trois suivants et d’être soufflé par les derniers. Ou inversement. Si la saga de George Lucas est un monde à elle seule, sa multiplicité l’enrichit d’autant plus et empêche de pouvoir dire: ‘”J’ai vu l’un des films et je n’ai pas aimé, je n’en regarderai donc plus aucun autre.”

Parce que c’est mythique


Si une filmographie ou une bibliographie sont des domaines où l’opinion personnelle est reine, certains classiques sont malgré tout incontournables. Qu’on les chérisse ou pas, ils sont un patrimoine artistique à côté duquel on ne peut pas passer. C’est le cas du Seigneur des Anneaux, des films de Charlie Chaplin, de la trilogie du Parrain, des Hitchocks ou plus récemment d’Harry Potter. Mais aussi de Star Wars. Se rendre au cinéma pour voir le dernier opus, c’est donc aussi pouvoir dire “j’y étais” dans quelques années ou décennies. Vivre un évènement culturel marquant et prendre part à un phénomène.

Pour les fans de Disney


Si le rachat a fait bondir plus d’un puriste, aujourd’hui Star Wars est intrinsèquement lié à Disney. Et qu’on aime ou pas le changement, l’empire du conte de fées a définitivement apporté un nouveau souffle à la saga. Le Réveil de la Force et Les Derniers Jedis ont rencontré le succès et déplacé les foules, jouant des codes établis par George Lucas, mais également en y apportant de nouveaux héros, une nouvelle énergie, et il faut l’admettre, un coup de jeune. L’arrivée des Jedis, des Sith et du Premier Ordre dans les parcs Disney a par ailleurs rallié à la lutte entre la Force et le Côté Obscur toute une nouvelle génération de jeunes padawans, prêts à conquérir les étoiles.

Parce que ce n’est pas qu’une question de science-fiction


Au-delà de la dynamique de film d’action, d’aventure et de science-fiction, Star Wars met en exergue des principes moraux, des personnages forts et une philosophie à part entière. Il y est fait la part belle aux héroïnes féminines, qui s’imposent comme libres, indépendantes et surtout essentielles, fins stratèges et guerrières aguerries. De même, derrière la problématique de deux courants de pensées tout puissants se cache le danger de céder au fanatisme, à l’obscurantisme et à la violence.

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Aller voir L’Ascension de Skywalker c’est donc l’occasion d’un moment pop-corn qui nous maintiendra à bout de souffle durant 142 minutes, ou, si l’on préfère, la possibilité de philosopher entre les combats au sabre laser sur le parallèle avec l’évolution historique et sociale du monde. Mais à coup sûr, la garantie de ressortir de la salle la tête dans les étoiles.

On prolonge notre traversée de l’hyperespace:

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