Le magazine Nylon souhaitait mettre la chanteuse à l’honneur dans son prochain numéro. Pourtant, c’est tout le contraire qui s’est passé: furieuse, Billie Eilish demande à être retirée de la couverture!
Sans lui demander son accord, le magazine allemand Nylon a publié une photo de Billie Eilish totalement photoshopée: une version humanoïde, topless et sans aucun cheveux. Une sorte de portrait robot qui ne ressemble plus du tout à la chanteuse (et qui nous fait un peu peur)!
https://www.instagram.com/p/B1woPGJIZ9H/?utm_source=ig_embed
Billie Eilish scandalisée
Directement après avoir découvert cette couverture, la chanteuse de 17 ans s’est exprimée sur les réseaux en expliquant être scandalisée – à juste titre:
Qu’est-ce que c’est que cette merde. 1- Je n’ai jamais été approchée par Nylon pour réaliser une telle photo, je ne savais pas ce qui allait se passer, tout comme le reste de mon équipe. 2- Cela ne ressemble même pas à une vraie photo de moi, je n’y vois rien de créatif dedans. 3 – Vous en faîtes une photo de moi torse nu? Qui n’est pas réelle? A 17 ans? Et en couverture? Même si la photo devait ressembler à un robot, je n’ai jamais accepté ça. 4 – ET VOUS AVEZ RETIRÉ TOUS MES CHEVEUX? Honte à vous!
Les excuses du magazine
Le Nylon Magazine a directement réagi au message de la star, avec de plates excuses envers elle mais aussi envers ses nombreux fans:
Nous ne voulions en aucun cas insulter Billie Eilish avec cette cover. Notre seule intention était d’honorer l’impact de Billie et de son travail en créant un avatar faisant partie d’une série de couvertures en hommage au pouvoir des artistes digitaux. Cet avatar est une oeuvre d’art 3D dédiée à ses nombreux exploits et à l’effet positif qu’elle a sur des millions de personnes à travers le globe, dont nous
Une oeuvre d’art qui n’a pas séduit les fans qui sont toujours furieux. Selon eux, ce numéro du magazine ne doit en aucun cas être publié.
De son côté, la chanteuse ne semble pas vouloir attaquer Nylon en justice, juste vouloir rétablir la situation.
Affaire à suivre, donc...
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