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Phrases de parents - Getty
Phrases de parents - Getty

14 phrases qu’on a tous·tes déjà entendues dans la bouche de nos parents

Manon de Meersman

On a beau dire ce qu’on veut: certaines situations sont universelles. Un exemple concret? Notre enfance, à entendre les même remarques en boucle de la part de nos parents.

Elles nous tapent sur le système, nous foutent la honte et nous désespèrent, mais force est de constater qu’elles sont aussi communes à bon nombre de parents. Eh oui, certaines phrases, aussi désuètes et ringardes soient-elles, ont marqué l’enfance d’une majorité d’entre nous. La preuve par 14.

“On s’en moque des autres”

Une phrase trop souvent prononcée lorsqu’on se défendait tant bien que mal pour justifier notre mauvaise note. À noter que celle-ci s’inversait lorsqu’on avait un excellent résultat... “Et les autres, ils ont eu combien?”

“Je suis pas ton boy”

Souvent prononcée par notre mère lorsque nous laissions traîner nos affaires. Expression qui va souvent de pair avec: “T’as cru que tu étais à l’hôtel, en fait?”

“Les petites bêtes ne mangent pas les grosses”

OK, mais en attendant, se défendre avec une pantoufle face à une araignée, ça reste un truc qu’on laisse volontiers aux autres.

“On n’est pas à Versailles ici”

Inutile de préciser que lorsque c’est nos parents qui oublient d’éteindre, on n’a même pas le droit de se défendre hein. Sinon, c’est pas drôle.

“Moi à ton âge, je n’avais pas ça”

Oui, boh, chacun son époque aussi...

“On n’est pas Rothschild”

Alors qu’on ne savait même pas qui était ce mec, disons-le.

“Ne dis pas que tu n’aimes pas, tu n’as même pas goûté”

Alors que si. Si, si. On a déjà goûté. Et on n’aime vraiment pas. Quel supplice.

“Je suis pas ta/ton pote”

Dommage. Ça aurait été plus fun, sinon. C’est certain!

“Et si ton ami·e saute d’un pont, tu le fais aussi?”

Toujours être dans les extrêmes. Roh.

“Non, je n’irai pas te chercher à Houtsiplou-les-bains-de-pied”

Dans la même veine que: “Tu m’as pris·e pour ton taxi?”

“Il n’y a pas de ‘mais’ qui tiennent”

Là, on savait que ça devenait définitivement compliqué de négocier.

“Si tu ranges pas ta chambre, je prends toutes tes affaires et je les jette à la poubelle”

On n’a quand même jamais tenté de savoir si la menace allait être d’application ou non.

“Il ne faudra pas venir pleurer après”

Et évidemment, on pleurait. Intérieurement. La fierté avant tout.

“T’as fini ta comédie?”

Ou comment se sentir profondément incompris·e.

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