Son franc-parler
Marc Wilmots n'a pas l'habitude de tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler. Le vouvoiement? Connait pas. La ponctuation? Connait pas. En interview, il souhaite bonne chance aux traducteurs tant ses phrases peuvent être incompréhensibles. Ou très philosophiques. "Mourir deux fois, ça ne changera rien à ma vie", avait-il dit à un journaliste.
Ses pas de danse
Il est l'as des sauts en bord de terrain. L'homme qui crie tellement fort pendant les matches qu'il passe au-dessus des supporters, c'est lui. Souvent, Marc Wilmots piétine la pelouse. Il n'hésite pas à donner de sa personne pour se faire comprendre.
Sa simplicité
L'homme au "bon sens fermier" a toujours gardé les pieds sur terre. Si on le croise dans la rue, on ne dira pas "bonjour Monsieur Wimots" mais plutôt "salut Marc!". On l'imagine davantage donner une tape dans le dos que de serrer la main. Marc est un vrai bonhomme bien de chez nous. Il ne refuse jamais une interview ou un challenge.
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Ses victoires
34 victoires et 9 partages pour 51 rencontres, le score de Marc Wilmots est très honorable. En quatre ans, le coach des Diables Rouges aura hissé ses petits protégés en haut du classement Fifa, à la première place mondiale. Il a eu l'énorme mérite de faire naître l'attrait du football chez ceux qui n'en avaient rien à faire. Et surtout, il a réussi à ressouder la Belgique en croyant de tout son coeur en "ses hommes", un bonheur partagé par tous les belges.
Et ses défaites
S'il est aujourd'hui l'homme abattu par l'Union belge, jamais Marc Wilmots ne s'est laissé abattre par une défaite. Il a toujours remonté le moral des troupes et cru en ses joueurs. Plus qu'un entraineur ou un ancien joueur, Marc Wilmots est avant tout un homme au grand coeur.
Merci Marc, pour nos Diables: