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Leg Studio, le projet photo décomplexant qui nous fait une belle jambe

Kathleen Wuyard

Lancée en 2013 par “My Little Paris”, la Gambettes Box sublime nos jambes en livrant à domicile deux paires de collants par mois (et du beachwear en été quand les collants restent dans le tiroir). Et rappelle également que toutes les jambes sont belles avec Leg Studio, un projet photo décomplexant.


Le principe: montrer des jambes, mais toutes sortes de jambes. Soit pas seulement ces spécimens longs de plus d’un mètre et fins comme une courgette qu’on voit dans tous les magazines, mais bien des jambes qui ressemblent aux nôtres, à celles de notre mère, de notre BFF, bref, des gambettes qui ne donnent pas envie de prendre ses jambes à son cou en les voyant tellement ça fout le malaise de se dire que jamais, même après mille régimes, les nôtres ne leur ressembleront.

On a rassemblé un petit groupe de meufs qui ont appris à tout envoyer balader. Gaëlle Prudencio, Marion Seclin, Kenza Sadoun et plein d’autres femmes avec qui on prend le métro, on partage un bout de plage ou qu’on croise dans une boulangerie. Elles nous ont laissé les photographier en nous racontant leur histoire d’amour, dés-amour ou ré-amour pour leurs jambes”.

 

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Parce que la “Beauté” n’existe pas


Au Leg Studio, les jambes ressemblent à celles de toutes les femmes, car justement, ce sont elles qui sont à l’honneur, qu’elles soient influenceuses ou simplement fidèles clientes de la Gambettes Box. Plus inspirant encore: chacun de leurs magnifiques portraits s’accompagne du témoignage de la jeune femme photographiée. Objectif avoué?

Les jambes, on les aime et on le montre”.


Dont acte: l’activiste body-positive Iael Joly confie qu’avant “je haïssais mes jambes parce que je les trouvais disproportionnées (...) Maintenant, ces larges cuisses et ces fins mollets avec ces fines chevilles me plaisent. Ma photo c’est pulpeux, c’est doux, c’est léger. J’adore!”, tandis que la danseuse étoile Léonore Baulac explique “essentiellement professionnel avec mes jambes, leur forme, leurs douleurs, leur aspect, leurs capacités sont une préoccupation permanente”, et Laure, pharmacienne, se souvient que “longtemps mes jambes ont été un complexe : je détestais mes mollets (trop) musclés. Mais en vieillissant j’ai appris à les aimer, et maintenant je les considère comme un atout”.

 

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Et Gambettes Box de rappeler que “la “Beauté” avec un grand « B », celle qu’on nous matraque, normée, longiligne, d’une forme spécifique… Elle n’existe pas”. Et si vous aussi vous appreniez à aimer vos jambes?

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