Toutes les femmes ont leurs propres fantasmes, et comme chez Flair, on aime partager, une lectrice nous parle de son petit plaisir coquin préféré, à savourer seule ou à 2. Cette semaine, Paula se confie sur son fantasme d’avoir une aventure avec l’associé de son mari.
Paula, 34 ans, est mariée et a 2 enfants.
Elle s’enflamme... pour un homme qui lui montre à quel point il la trouve attirante.
Elle rêve... d’une aventure avec l’associé de son mari, même si elle ne le fera jamais.
La fête du Nouvel An de l’entreprise de mon mari touche à sa fin. Partout traînent des assiettes et des verres vides, la musique est plus douce, et la majorité des invités est soit rentrée à la maison, soit partie vers les chambres. Mon mari aussi est déjà parti dormir depuis un moment. Il ne reste plus que son associé.
Plus tôt dans la soirée, il était entré, sans le vouloir, dans la pièce où j’étais en train de me changer. J’étais de profil, légèrement tournée vers lui, et j’étais justement en train d’enfiler ma culotte. Son regard s’est immédiatement fixé sur mes fesses rondes, et je suis sûre que, entre mes longues jambes bronzées, il a pu voir mes parties intimes. J’ai poussé un cri et j’ai remonté ma culotte en vitesse, mais lorsqu’il s’est retourné précipitamment en s’excusant avant de quitter la pièce, tout ce que je pouvais sentir, c’était mon sexe qui tout à coup se serrait dans ce sous-vêtement, mes sens submergés par le désir.
À minuit, j’étais donc très consciente de mon corps contre le sien quand nous nous sommes pris dans les bras et que nous nous sommes embrassés pour la nouvelle année. Encore plus quand j’ai senti que le désir s’éveillait aussi dans son entrejambe. Au lieu de me reculer, j’ai poussé mes hanches vers l’avant et j’ai levé le visage vers le sien. J’ai ri, aussi innocemment que possible. Son regard plein de convoitise m’a rendue encore plus excitée.
Maintenant que la fête est finie et que je repasse ce moment coquin dans ma tête, je me demande si je le ferais vraiment. Rien que l’idée que lui, l’associé de mon mari, et moi ayons une partie de jambes en l’air torride, fait monter l’excitation en moi. Je laisse mon imagination prendre le dessus et je m’imagine assise sur lui, le chevauchant furieusement jusqu’à l’orgasme. Je me sens irréfléchie et avide, et même si mon mari est déjà endormi, il faut que je me défasse de cette tension.
Je glisse la main dans la poche de ma combinaison et je sens, à travers le tissu, à quel point mon sexe est mouillé. Sur un coup de tête, je sors de la salle par l’arrière pour rejoindre le patio désert, la main toujours dans ma poche, pressée contre mon sexe. Mais lorsque j’arrive dans le coin lounge du jardin intérieur, il n’est pas désert. Il est là, et mon désir explose encore davantage.
Je reste immobile à quelques pas de lui, puis il tourne la tête vers moi.
« Hé, Paula », murmure-t-il.
« Toi aussi tu es encore debout… Tu veux… qu’on passe un bon moment? »
Il me tend la main, et je la prends. Dès que nos doigts se touchent, ma respiration devient irrégulière et j’ai l’impression de perdre tout contrôle, parce que je sais que mon fantasme d’il y a peu est sur le point de devenir réalité. Et même si je sais que c’est vraiment interdit, l’idée de tromper mon mari avec son associé ne fait que renforcer la tension.
Il m’emmène vers le coin le plus sombre du jardin. En contournant un massif de buissons, nous tombons dans les bras l’un de l’autre, nos bouches affamées soudées et nos langues entremêlées. Ses mains partent à la découverte de mes fesses rondes, les miennes se posent sur l’énorme érection à laquelle je pense depuis le début de la soirée. Je me frotte à nouveau contre lui. Tout devient flou. Nos halètements se mêlent, brûlants, et je n’ai plus la sensation de vraiment savoir ce que je fais, ni même où je suis.
Nous arrachons ensuite nos vêtements. Il prend mes petits seins dans ses mains et suce mes tétons roses, fièrement dressés. Je sens ma cage thoracique se soulever de plus en plus vite. Lorsqu’il s’agenouille ensuite pour faire connaissance de très près avec mes lèvres, je ne peux retenir un gémissement. Il me lèche plusieurs fois de haut en bas et de bas en haut, puis me tire sur ses genoux. Nous nous embrassons pendant que je m’empale lentement sur son membre tendu et palpitant, et au moment où je commence à le chevaucher sauvagement, profondément… je me réveille en sueur.
Il me faut quelques secondes pour réaliser que je suis dans mon propre lit, à côté de mon mari endormi. Je ne sais pas très bien si je dois me sentir soulagée ou déçue, mais pour l’instant, cela me suffit largement.
« Psst, chéri. Réveille-toi un peu… J’ai très envie de toi! »
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