Toutes les femmes ont leurs propres fantasmes, et comme chez Flair, on aime partager, une lectrice nous parle de son petit plaisir coquin préféré, à savourer seule ou à 2. Cette semaine, Chiara raconte son fantasme de se masturber en cachette.
Chiara, 29 ans, profite de sa vie de célibataire.
Elle s’enflamme… pour des corps masculins en mouvement.
Elle rêve parfois… de se masturber en cachette, avec quelqu’un d’autre à proximité
J’ai réservé cette cabane de plage plusieurs semaines à l’avance. Loin de l’agitation, près de l’eau et avec ces lamelles en bois que je peux ouvrir juste assez pour voir ce qui se passe dehors, sans être vue. C’est le luxe à l’état pur. Et la tentation aussi, comme je m’en rends compte dès le deuxième jour. À 9 h du matin, il est soudain là: légèrement bronzé, torse nu et vêtu d’un short qui tombe un peu trop bas sur ses hanches. Juste devant ma cabane, il déroule son tapis de sport. D’habitude, je ne suis pas du tout attirée par les gros muscles, mais ici, en vacances, ça me fait tout à coup de l’effet.
Pompes. Abdos. Fentes latérales. Chaque mouvement fait briller ses muscles de sueur. Et moi? Je suis censée lire sur le transat dans ma cabine de plage, les stores juste assez ouverts, et mes jambes aussi... Je laisse tomber mon livre sur le sol et m’allonge de tout mon long sur le matelas. Je repousse mon haut de bikini crocheté sur le côté. Je pose une main sur ma poitrine et laisse l’autre glisser sur mon ventre jusqu’à atteindre le bas de mon short. Mon doigt effleure le tissu côtelé. Le beau gosse commence une série de squats. Sa mâchoire est crispée, son regard est concentré et ses cuisses se contractent délicieusement. Que ferait-il s’il savait qu’à 20 mètres de lui, une fille est allongée, les doigts entre les jambes, uniquement parce qu’il transpire à grosses gouttes devant elle?
Je retire également mon bas de bikini. Les doigts d’une main jouent avec mon téton tout dur, tandis que ceux de l’autre trouvent mon clitoris. Il est sensible, gonflé et prêt. Un doux soupir s’échappe de mes lèvres lorsque je commence à le caresser en cercles. Je garde les yeux rivés sur son derrière. Il passe aux burpees. Des grains de sable scintillants collent à sa peau.
Son corps bouge avec tant de puissance que ma respiration s’accélère sous l’effet de l’effort.
Mes hanches bougent au rythme des siennes. Je trempe un doigt dans ma propre humidité et le glisse en moi, puis le retire. Ma tête veut basculer en arrière sous l’effet de l’excitation, mais je contrôle cette envie, car je ne veux pas manquer une seconde du spectacle. À la place, je me mords presque la lèvre.
Avec ma main libre, je serre mes seins l’un contre l’autre. J’imagine qu’il est au-dessus de moi en train de faire des pompes et qu’il enfonce son visage dans mes seins à chaque fois qu’il descend. En réalité, il est debout et s’étire. On pourrait râper du fromage sur ses abdos. Puis il fait un quart de tour et son regard se pose soudainement sur ma cabine de plage. Mon souffle se coupe, mon cœur s’emballe et mon doigt reste immobile en moi. M’a-t-il vue? Ou est-ce que je me sens simplement prise en flagrant délit? Lorsqu’il se retourne vers l’eau, je pousse un soupir.
Ce moment était tellement excitant que mon vagin s’est resserré autour de mon doigt, le pressant encore plus délicieusement contre mon point G. Je ne veux pas perdre cette sensation, alors je commence à me toucher plus vite et plus fort. Mon doigt tourne avec de plus en plus de pression et d’intensité le long de toutes les parois de mon vagin, ce qui fait que mon dos se soulève légèrement et que ma bouche s’entrouvre. Je me sens excitée, tellement excitée. Et quand je le vois passer nonchalamment ses mains dans ses cheveux, je deviens folle. Il ne me faut plus que quelques instants, encore un tout petit peu plus...
Et puis, ça vient. Une vague de plaisir, chaude et intense, qui parcourt tout mon corps, tandis qu’il verse une bouteille d’eau sur sa tête. Mes jambes se serrent, et mon sexe se met à ruisseler. Je frissonne de la tête aux pieds, je serre mon doigt si fort que je le fais presque sortir de ma main et je ne peux retenir un long gémissement. Lorsque la tension quitte mon corps, je me laisse retomber. Mon doigt brille. Je respire fort et ma tête est légère. Mon « amant de vacances » roule son matelas et s’éloigne vers les dunes, comme si de rien n’était. Mais je sais bien que ce n’est pas le cas. Et demain matin, à 9 h, je serai de nouveau prête.
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