Toutes les femmes ont leurs propres fantasmes, et comme chez Flair, on aime partager, une lectrice nous parle de son petit plaisir coquin préféré, à savourer seule ou à 2. Lucie, 32 ans, partage son fantasme de sexe occasionnel et sans contrainte.
Lucie, 32 ans, veut prendre un nouveau départ après son divorce.
Elle s’enflamme… pour un pénis entre ses mains.
Elle rêve parfois… de sexe occasionnel sans contrainte.
En fait, dès que j’entre, je sais déjà que je vais acheter cet appartement. C’est le coup de foudre. La lumière pénètre parfaitement à travers les grandes fenêtres, le parquet craque juste ce qu’il faut et l’odeur des murs fraîchement repeints embaume l’espace. C’est exactement le nouveau départ dont j’ai besoin. Mais je ne vais bien sûr pas le révéler tout de suite à l’agent immobilier. Il s’appelle Sébastien. Blond foncé, barbe naissante, costume impeccable. Un peu trop classique pour être tout à fait mon genre, mais pour un mardi après-midi, ce n’est vraiment pas une punition d’être ici avec lui. Non pas que j’écoute vraiment ce qu’il a à dire. Depuis que nous nous sommes serré la main et qu’il m’a donné quelques explications sur le bien, mon attention est sans cesse attirée par la façon dont sa lèvre supérieure se retrousse légèrement chaque fois qu’il parle.
« La cuisine a été entièrement rénovée. »
J’ai quand même compris la moitié. « Plaque à induction, four combiné, beaucoup d’espace de rangement, plan de travail très pratique. » Cette dernière remarque retient soudainement mon attention, car imaginez tout ce qu’on pourrait faire avec – ou plutôt sur – ce plan de travail? Il me conduit ensuite vers la chambre. Mon esprit mal tourné ne s’arrange pas. « Des placards intégrés, chambre orientée sud et, comme vous pouvez le voir, suffisamment d’espace pour un lit king size », dit Sébastien, tandis que je passe mes doigts sur le bord du lit.
C’est du mobilier de présentation. Pas le top, mais parfait pour montrer les possibilités. Et pour faire vagabonder mon imagination. « Vous pensez que le lit peut rester ici? », dis-je en repoussant mes hanches vers l’arrière et en me laissant tomber sur le matelas. Sébastien sourit timidement. « On peut en discuter. » J’enlève mes chaussures, me glisse sur le lit et m’étale un peu trop nonchalamment sur les draps.
Mon chemisier s’ouvre légèrement sur le haut. « C’est plutôt agréable », dis-je à Sébastien pour le provoquer. Il hésite. Puis il s’approche. « Vous voulez tester la chambre, c’est bien ça? » Je lui lance un regard malicieux.
« Je prends mes investissements très au sérieux. »
Son regard s’intensifie, sa respiration devient plus lourde. Je hausse les sourcils d’un air provocateur. Sébastien s’avance, se penche vers moi et attend. Je le laisse attendre un instant, jusqu’à ce que je voie le doute dans ses yeux, puis je le libère de son supplice et approche lentement, mais sûrement, mes lèvres des siennes. Nous nous embrassons. D’abord prudemment, jusqu’à ce que j’attrape sa cravate et l’attire sur le lit.
Soudain, les vêtements volent dans la pièce et nos mains glissent dans toutes les directions. Ses doigts trouvent l’agrafe de mon soutien-gorge, les miens trouvent le bouton et la fermeture éclair de son pantalon. Mes seins sont exposés à l’air frais, mais sa bouche les réchauffe immédiatement. Il suce mes tétons pendant que je l’aide à se débarrasser de son pantalon.
« Il y a des préservatifs dans ma poche arrière », murmure-t-il.
J’en trouve un, l’ouvre avec ma bouche et le place sur le bout de son pénis dur comme de la pierre. Rien que le fait de glisser ce préservatif me rend folle de désir. « Je peux? », demande-t-il encore très poliment. J’enroule mes jambes autour de sa taille, pose mes mains sur ses hanches et l’attire profondément en moi. Le lit craque légèrement sous ses coups de reins. Sa bouche est près de mon oreille, ses hanches cognent contre les miennes.
« C’est... incroyable », chuchote-t-il.
Je hoche la tête.
Mes ongles griffent son dos, tandis que je presse mes hanches encore plus fort contre lui. À chaque coup, il me pénètre plus profondément et je ne veux plus qu’une seule chose: le sentir jouir en moi. Je me crispe autant que possible autour de lui et fais tout pour le faire éjaculer. J’y arrive. Je sens son pénis gonfler complètement, battre dans mon vagin, puis exploser comme un feu d’artifice. Je gémis son nom, sans gêne. Eh bien, mes nouveaux voisins n’ont qu’à s’y habituer.
Lire aussi: