Toutes les femmes ont leurs propres fantasmes, et comme chez Flair, on aime partager, une lectrice nous parle de son petit plaisir coquin préféré, à savourer seule ou à 2. Cette semaine, Romy partage son fantasme d’une relation sexuelle inattendue et spontanée lors des prochaines vacances avec son partenaire.
Romy, 27 ans, est depuis 3 ans avec son petit ami.
Elle s’enflamme... à l’idée d’être caressée pendant les rapports sexuels.
Elle rêve parfois... d’une relation sexuelle inattendue et spontanée lors de leurs prochaines vacances.
Cela fait déjà 4 jours que nous parcourons le sud de la France en camping-car. Au programme? Du soleil, de la liberté, le moins d’activités possible et surtout profiter pleinement l’un de l’autre. Tout se passe à merveille... jusqu’à ce que le camping-car commence soudainement à toussoter sur une route déserte, quelque part au milieu des champs de lavande.
« Ça ne sent pas bon », marmonne mon compagnon Jean, tout en essayant de redémarrer le moteur. Rien ne se passe. Le moteur est complètement mort. « Une heure?! », je l’entends soupirer au téléphone lorsqu’il parvient enfin à joindre le service de dépannage.
« Bon... », dis-je une fois la conversation téléphonique terminée, et je commence à sourire.« Nous avons donc 2 options: nous pouvons nous ennuyer à mourir pendant une heure ou... nous pouvons faire autre chose... »
Jean me regarde, les sourcils levés. « Autre chose, ça semble intéressant. » Nous retournons dans le camping-car. Je ne perds pas de temps. J’enlève mes sandales, retire mon haut ample et reste en soutien-gorge. Le regard de Jean glisse sur mon corps.
Je m’approche de lui, m’assois sur ses genoux et l’embrasse. Ma langue joue avec la sienne, tandis que ses mains caressent mon dos nu. Le bout de ses doigts est chaud contre ma peau déjà humide. La tension entre nous monte, comme toujours lorsque nous voulons faire quelque chose qui n’est pas vraiment « convenable. » « Nous avons une heure », lui dis-je à voix basse pour attiser encore plus le feu. Cela fonctionne immédiatement.
Il me soulève et me couche sur le dos sur la banquette étroite du camping-car. Mon short glisse rapidement jusqu’à mes chevilles, tout comme ma culotte. L’air dans le camping-car n’est pas la seule chose qui semble chaude et humide. Il embrasse mes cuisses, lèche ma peau et se rapproche lentement mais sûrement de l’endroit où j’aimerais le plus sentir ses lèvres.
Quand sa langue atteint enfin cet endroit, je ne peux pas me retenir: un gémissement de plaisir m’échappe. Il joue avec moi. Sa langue lèche mes lèvres, ses mains massent mes fesses. « Oh Jean... », dis-je dans un soupir et j’enfonce mes doigts dans ses cheveux. Il lève les yeux, la bouche humide de ma salive.
« Dis-moi si tu veux autre chose. »
Je n’ai pas besoin d’y réfléchir. « Viens ici », dis-je.
Tout mon corps est en feu, il fourmille et en réclame davantage. Jean retire son t-shirt et baisse son short et son caleçon. Prêt à passer à l’action, tout comme moi. Il se penche, son corps effleurant le mien. Une main repose près de ma tête, l’autre caresse ma poitrine. Son pouce joue avec mon téton, déjà dur d’excitation. Quand il s’enfonce lentement en moi, je renverse la tête en arrière et pousse un profond soupir. Tout en cet instant est intense. La chaleur, le léger craquement du camping-car à chaque mouvement, le bruit de nos corps en sueur qui se touchent en rythme.
Nous bougeons ensemble, d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Son bassin heurte le mien, car j’essaie de l’attirer toujours plus profondément en moi. Je serre mes jambes autour de sa taille, enfonce mes ongles dans la peau de son dos. Il se penche vers moi, embrasse ma clavicule, mon cou, le lobe de mon oreille. Je deviens folle.
« C’est tellement bon », murmure-t-il dans mon oreille, haletant. Je commence vraiment à ressentir des picotements dans le bas-ventre, cette sensation excitante qui pourrait éclater à tout moment.
« Jean... laisse-moi jouir, s’il te plaît! »,
gémis-je. Il continue à me pénétrer profondément, mais pose en même temps une main sur mon entrejambe. Il commence à me caresser le clitoris avec 3 doigts. Tout sauf subtil. Tout mon corps se contracte, alors qu’il me titille avec ses doigts. Une vague de plaisir m’envahit. Je crie son nom, et une seconde plus tard, je le sens jouir. Quand je reprends mon souffle, je regarde l’horloge. Mince, encore trois quarts d’heure à attendre...
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