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© Getty Images

SOUS LA COUETTE: ““Il me soulève et me pose sur le bord de la table””

La rédaction

Toutes les femmes ont leurs propres fantasmes, et comme chez Flair, on aime partager, une lectrice nous parle de son petit plaisir coquin préféré, à savourer seule ou à 2. Cette semaine, Stella, 27 ans, partage son fantasme d’une aventure au sein de l’école dans laquelle elle travaille.

Stella, 27 ans, est une célibataire heureuse.

Elle s’enflamme... pour les hommes qui jouissent en elle.

Elle rêve parfois... de sexe dans l’école où elle travaille.

Texte: Elien Geboers

Mon premier jour de travail à l’école est terminé. Les couloirs sont vides, les lumières tamisées. Seul le bourdonnement d’un projecteur quelque part au loin trahit la présence de vie dans le bâtiment. Je suis seule dans la salle des professeurs, une tasse de café tiède à la main, appuyée contre la table où s’empilent des cahiers. Je voulais juste me détendre un peu avant de rentrer chez moi. Du moins, c’était le plan. Jusqu’à ce que notre nouveau collègue d’histoire, Simon, apparaisse dans l’embrasure de la porte et que je réalise qu’il était sérieux.

Ce matin, Simon s’est présenté aux élèves, mais c’est mon corps qui a réagi comme si j’avais à nouveau 16 ans. C’est encore le cas maintenant qu’il se tient devant moi dans la salle des professeurs déserte et que je sais exactement ce qu’il vient faire. Il s’est déjà trahi ce matin, quand il a remarqué que je le regardais fixement et qu’il m’a chuchoté à l’oreille: « Et si on inaugurait la nouvelle année scolaire ensemble dans la salle des professeurs après les cours? »

La porte se referme derrière lui. Il se tient là. Sa cravate est défaite, sa chemise est ouverte de quelques boutons. Je sens mon souffle s’accélérer. Il verrouille la porte et s’approche de moi.

« En fait, on ne devrait pas faire ça »

dit-il, mais je lis dans ses yeux qu’il n’en pense pas un mot. Je souris. « Non, pas vraiment. »

Une seconde plus tard, ses mains saisissent mon visage et ses lèvres trouvent les miennes. Je l’embrasse à pleine bouche. Il me soulève et me pose sur le bord de la table. Des cahiers tombent par terre. Mes jambes s’écartent et il se place entre elles. Même si le tissu de 2 pantalons nous sépare encore, dès que son entrejambe touche le mien, un courant électrique parcourt mon corps. Ma blouse s’ouvre, mon soutien-gorge glisse vers le bas et sa bouche se dirige droit vers sa cible: mes tétons dressés. Ses lèvres chaudes et humides les enveloppent, tandis que ses doigts trouvent leur chemin derrière l’élastique de mon pantalon. Je soupire. Ma tête est soudain trop lourde pour rester droite, alors je la pose dans son cou. L’idée que nous puissions être surpris à tout moment par le concierge ne fait qu’intensifier le plaisir.

Quand ses doigts glissent sous ma culotte, il sent à quel point je suis prête.

« Mon Dieu, tu es toute mouillée »,

murmure-t-il. Je me mords la lèvre d’excitation. J’insiste en tirant sur sa ceinture. Il comprend immédiatement. Il ouvre son pantalon, baisse le mien et sort son sexe dur et brillant. Il le caresse plusieurs fois, et cette vue m’excite tellement que les préliminaires seraient plutôt une torture qu’un plaisir à ce stade. Je veux juste le sentir en moi.

Il sort un préservatif de sa poche arrière, et je le lui arrache immédiatement des mains. En tant que célibataire aguerrie, je sais bien que c’est plus rapide si je le fais moi-même. J’ouvre l’emballage, place le préservatif contre son pénis et le fais rouler rapidement vers le bas, tout en le pressant doucement. Il gémit à mon oreille: « Putain, tu es bonne. »

Je sais me penche encore un peu plus en avant sur le bord de la table. Avec ma main, je guide son érection vers mon entrejambe. Après avoir d’abord caressé mon clitoris avec son pénis, il glisse d’un mouvement fluide dans mon sexe humide. Mon dos se cambre de plaisir, mes mains s’agrippent à ses hanches et je le serre contre moi aussi fort que possible. Comme je recule un peu sur la table dès qu’il commence à me faire l’amour, il se penche en avant, une main sur la table, et enroule son autre bras autour de mon corps pour me retenir. Cela lui permet de me pénétrer encore plus profondément à chaque coup. Les pieds de la table craquent de plus en plus.

« Éjacule en moi, ‘Monsieur’ Simon »

, je le supplie. Et quand il le fait une minute plus tard, je me sens au sommet du monde. L’année scolaire ne fait que commencer, mais si vous voulez mon avis, cet épisode mérite déjà une place dans les livres d’histoire du Professeur Simon.

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