Toutes les femmes ont leurs propres fantasmes, et comme chez Flair, on aime partager, une lectrice nous parle de son petit plaisir coquin préféré, à savourer seule ou à 2. Cette semaine, Ysée, 27 ans, rêve d’une sieste crapuleuse.
Ysée, 27 ans, vit avec son petit ami depuis 2 ans.
Elle s’enflamme... pour une sieste crapuleuse.
Elle rêve... de se prélasser dans leur nouveau canapé lors d’une journée de repos.
Après 20 minutes d’absence totale, j’ouvre les yeux. La chaleur du poêle est toujours aussi agréable sur ma peau, et la moitié de mon visage picote sous l’effet de la chaleur. L’autre moitié est cachée sous un coin de la couverture en polaire qui a glissé sur moi pendant ma sieste. Je m’étire, me glisse un peu plus haut dans notre tout nouveau canapé et pose mes yeux encore endormis sur mon amoureux. Contrairement à moi, il est toujours profondément endormi sous la même couverture.Très doucement, je pose ma main à l’intérieur de son genou et commence à le caresser doucement. Il ne bronche pas. Aussi lentement que possible, je laisse glisser mes doigts vers le haut jusqu’à atteindre sa cuisse et je sens les muscles de son aine commencer à se contracter. Mes doigts continuent à le chatouiller joyeusement.
« Hmmpff », marmonne-t-il, encore à moitié endormi.
Je laisse mes doigts glisser d’encore quelques centimètres et les glisse juste sous le bord de son caleçon.
« Mmm », soupire-t-il, déjà beaucoup plus réceptif, mais ses yeux restent toujours fermés.
Afin que mes doigts puissent poursuivre leur exploration, je me rapproche de lui. Nos corps sont désormais pratiquement collés l’un à l’autre sous le plaid. Sans dire un mot, je continue. Mes doigts glissent plus loin sous le tissu de son caleçon, et l’un d’eux effleure le bas de son scrotum. Soudain, il ouvre grand les yeux.
« Oooh! », s’écrie-t-il, soudainement réveillé.
Je glousse, mais je continue en silence. Du bout de mon index, de mon annulaire et de mon majeur, je le caresse de droite à gauche. Je donne un petit pincement rapide, mais ferme. Il gémit. Même sous la couverture, dans son boxer ample, il ne peut me cacher son érection. Cela m’excite énormément. J’enroule mes doigts autour de son membre gonflé et, comme toujours, je suis étonnée de constater à quel point il peut être à la fois si dur et si doux au toucher. J’appuie fermement ma main contre sa peau.
Lorsqu’il se redresse légèrement, la couverture tombe à moitié du canapé. Cela rend vraiment visible l’énorme bosse dans son caleçon. C’est maintenant moi qui écarquille les yeux.De ma main libre, je soulève son caleçon pour pouvoir regarder à l’intérieur. Voir comment son sexe tient dans ma main provoque une tempête de désir dans mon corps.
« Enlève ton caleçon », lui dis-je.
Il veut bien obéir, mais le caleçon reste coincé à mi-chemin entre ses cuisses, pris entre ses jambes et le sofa. Cela ne m’arrête pas. Au début, je me contente de serrer son sexe, mais dès que le martèlement de son érection me fait perdre la tête, je commence à le caresser lentement. Mes mains glissent de haut en bas sur sa peau douce comme une pêche. Chaque fois qu’elles atteignent le bout de son pénis, je passe l’un de mes pouces sur la fente de son gland. Après la troisième fois, un petit filet de liquide pré-séminal reste collé. Cela me rend encore plus excitée que je ne l’étais déjà.
Je jette maintenant complètement la couverture, me mets dans la position optimale et commence à le caresser vraiment très vigoureusement.Je fais aller et venir mes mains de plus en plus vite sur son pénis. À chaque mouvement, je serre plus fort et je sens que son érection ne fait que devenir plus dure. C’est un cercle vicieux de plaisir auquel nous nous abandonnons complètement. Je le masturbe encore plus fort, son pénis devient encore plus imposant, et ensemble, nous nous dirigeons vers l’orgasme. Dans son cas, son gland finit par déborder de sperme chaud. Dans mon cas, c’est surtout ma tête qui déborde. Mais il reste encore de la place pour une pensée pratique: je suis tellement contente que nous ayons opté pour du cuir lavable lorsque nous avons choisi notre nouveau canapé.
Lire aussi:
