Toutes les femmes ont leurs propres fantasmes, et comme chez Flair, on aime partager, une lectrice nous parle de son petit plaisir coquin préféré, à savourer seule ou à 2. Cette semaine, Samira, 31 ans, partage son fantasme de pratiquer l’échangisme.
Samira, 31 ans, est célibataire par choix.
Elle s’enflamme… pour l’ambiance des vacances.
Elle rêve parfois… d’échange de partenaires.
Nous sommes 5 en vacances. 3 femmes, 2 hommes, une maison, un soleil de plomb et pas très envie de s’habiller. La tension qui règne depuis plusieurs jours est encore plus brûlante que le soleil de midi. Je suis allongée sur une chaise longue dans le jardin, il est tard dans l’après-midi. Mon haut de bikini est posé depuis un moment à côté de moi sur le sol. Personne n’y prête attention.
En face de moi, Tamara est allongée, un verre de rosé à la main, les jambes écartées, comme si elle avait oublié qu’elle n’était pas seule. Charlotte est allongée à côté d’elle, sur le ventre, son bas de bikini à moitié enfilé entre ses fesses. Elle glousse lorsque Raphaël lui donne une petite tape sur les fesses, tout en mangeant une tranche de pastèque. Jean est assis au bord de la piscine, les pieds dans l’eau, les lunettes de soleil sur la tête, le regard fixé sur nous. Je sais ce qu’il veut. Depuis un moment déjà. Et il n’est pas le seul.
Je me lève lentement, comme pour gagner du temps, et je me dirige vers lui. Son regard glisse le long de mon corps. Je m’assois à côté de lui et pose ma main sur sa cuisse. « Ça va? », lui dis-je d’une voix douce. Mes doigts caressent sa cuisse de manière espiègle. « Avec toi en monokini à côté de moi? Difficile de rester tranquille », répond-il. Je me penche vers lui. Mes seins effleurent son bras.
« Alors fais quelque chose. »
Il se tourne vers moi, sourit et m’embrasse soudainement, sans hésitation, ni prudence. Je lui rends son baiser avec autant d’empressement. Une de ses mains agrippe mon cou, l’autre glisse vers ma poitrine et joue avec mon téton, déjà dur d’excitation. Ma langue joue avec la sienne. Derrière nous, j’entends des rires. « Ah, le coup d’envoi est enfin donné, alors? », s’écrie Charlotte avec enthousiasme.
Tamara s’est déjà levée et se dirige vers Raph. Elle soulève son t-shirt et embrasse son ventre. Il laisse simplement tomber le morceau de pastèque qu’il tient dans sa main dans l’herbe. Charlotte vient s’asseoir près de moi et de Jean et commence à l’embrasser dans le cou. Je suis déjà assise sur ses genoux, mes jambes enroulées autour de lui. Tout va très vite.
Les quelques vêtements qu’il nous reste s’envolent dans tous les sens. Je m’allonge dans l’herbe à côté de la piscine. Jean se met à califourchon sur moi. Sa bouche est chaude, sa langue est douce et humide entre mes jambes. Je gémis lorsqu’il commence à me lécher et que je sens en même temps des doigts délicats caresser mes seins. Ce sont les mains de Charlotte, qui s’est agenouillée de l’autre côté et m’embrasse à l’envers. Sa langue a un goût sucré, ses doigts sont brûlants.
Quand nous arrêtons de nous embrasser, je tourne la tête et je vois Tamara assise sur les genoux de Raph, le dos tourné vers lui. Sa tête est penchée en arrière contre son épaule et ses seins dansent rythmiquement de haut en bas chaque fois qu’elle s’abaisse sur son érection dure et brillante. Raph grogne et soupire tandis qu’il la tire encore plus sur ses genoux, les mains sur ses hanches. Cette seule vue me rend folle de désir.
Jean a cessé de me lécher et caresse maintenant son sexe le long de mes lèvres gonflées. Il est dur comme de la pierre, chaud et parfait. J’écarte encore plus les jambes et soulève légèrement mon bassin pour lui faire comprendre à quel point je veux qu’il me pénètre. Il me donne exactement ce que je veux.
Pendant qu’il me baise profondément et délicieusement, Charlotte s’assoit sur mon visage, son entrejambe au-dessus de ma bouche. Je fais de mon mieux pour tourner en cercles autour de son clitoris de manière aussi rythmée que possible, mais ça devient plus difficile quand Jean commence à me pénétrer de plus en plus profondément et fort. À nous 5, nous formons un orchestre de gémissements, et nous jouons chacun notre solo à tour de rôle lorsque nous jouissons l’un après l’autre. Aaaah, les traditions de vacances... Elles sont merveilleuses, n’est-ce pas?
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