Toutes les femmes ont leurs propres fantasmes, et comme chez Flair, on aime partager, une lectrice nous parle de son petit plaisir coquin préféré, à savourer seule ou à 2. Cette semaine, Neha se confie sur son envie d’un trio avec une autre femme.
Neha, 31 ans, s’est mariée il y a 3 ans avec l’amour de sa vie.
Elle s’enflamme... pour ses propres tétons.
Elle rêve... d’un trio avec une autre femme.
Après une demi-heure dans la salle de bains, je descends les escaliers. Ma peau olive brille encore après la douche chaude. Je porte un peignoir en soie fine sur une culotte rose et une chemise de nuit blanche encore plus fine. Mes petits tétons bruns sont entièrement visibles à travers le tissu fin. J’étire mes bras au-dessus de ma tête et me cambre.
« Oh, cette douche chaude était si agréable! »
Mon mari m’enlace par derrière et prend mes petits seins dans ses mains. Mes 2 tétons réagissent immédiatement à son contact. Comme 2 petits boutons, ils pointent à travers ma chemise de nuit. Il embrasse mon épaule droite, je gémis de plaisir. Mais lorsque ses baisers atteignent mon cou, la sonnette retentit.
« Bon, ça sera pour plus tard », dis-je.
Je me dirige vers la porte. À travers la vitre, j’aperçois Yasmina.
« Désolée, je suis un peu en avance », sourit-elle.
« Mais j’ai fini mon service au bar plus tôt que prévu. »
Je l’embrasse avec enthousiasme.
« J’en suis ravie, ma chérie. Entre. »
J’accompagne Yasmina dans le salon. Au début, je me sens un peu mal à l’aise, car nous ne l’avons rencontrée que mercredi soir dernier à son bar, mais cette gêne s’estompe rapidement après avoir bu un verre de vin ensemble. Puis Yasmina pose sa main sur ma cuisse nue. Je pose immédiatement ma main dessus. Nos doigts s’entrelacent et nous caressons ensemble ma jambe.
« J’adore l’éclat de ta peau », dit Yasmina.
Ses yeux glissent sur mon corps. Elle pose sa main sur mon flanc et la fait lentement monter et descendre. Je la regarde d’un air provocateur.
« Ça fait durcir mes tétons... »
« Je vois ça », répond-elle d’un air amusé, tout en déplaçant sa main vers mon sein gauche.
Ce n’est qu’à ce moment-là que je regarde à nouveau mon mari. Son regard est fixé sur la main de Yasmina.
« C’est tellement excitant », murmure-je.
« Je trouve aussi », sourit Yasmina.
Elle passe ensuite son bras autour de mon cou, m’attire vers elle et m’embrasse. Lentement, profondément et passionnément. Nos lèvres se séparent parfois, mais le bout de nos langues reste en contact permanent. Elles tourbillonnent doucement l’une autour de l’autre. Je fais signe à mon mari de s’approcher, tout en écartant les jambes suffisamment pour qu’il remarque la tache humide dans ma culotte. Il se place derrière Yasmina, qui s’appuie contre sa poitrine. Sa main glisse sur sa hanche jusqu’à ma jambe nue.
De là, elle continue à remonter, là où il fait désormais assez chaud. Il me caresse à travers ma culotte. Il me faut une seconde pour réaliser que j’ai arrêté d’embrasser Yasmina. Je reprends naturellement le fil de l’action. Alors que nous continuons à nous embrasser tendrement, mon mari glisse ses doigts sous ma culotte. Je fais de même avec celle de Yasmina. Elle est déjà aussi mouillée que moi.
Nos 3 corps bougent en parfaite synchronisation, alors quand mon mari glisse un doigt en moi, je fais exactement la même chose à Yasmina. Pour ne pas briser le rythme, et parce que la doigter est à peu près la chose la plus excitante que j’ai jamais faite. Nous haletons et gémissons dans la bouche l’une de l’autre, jusqu’à ce que mon mari retire son doigt de moi et le pose sur les lèvres de Yasmina. Elle le lèche, et cela me fait basculer. Je glisse un autre doigt dans la culotte de Yasmina, je commence à la doigter plus vigoureusement et, pendant ce temps, je frotte mon propre clitoris contre le canapé. Plus Yasmina gémit de plaisir, plus je me rapproche de l’orgasme.
Mon mari comprend également que je n’ai plus besoin de son aide, ce qui lui laisse le temps de se faire plaisir. Tandis qu’il se masturbe devant moi et Yasmina, je la fais jouir en même temps que moi. Mon mari, quant à lui, se retient encore un peu. Après tout, le plaisir ne fait que commencer...
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