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© LONDON, ENGLAND - JANUARY 14: Merchandise featuring Prince Harry, Duke of Sussex and Meghan, Duchess of Sussex is seen on sale on January 14, 2020 in London, England. The Duke and Duchess of Sussex have announced that they are to step back from their senior Royal roles and are planning on splitting their time between the United Kingdom and North America. (Photo by Peter Summers/Getty Images)

Un avocat joue un vilain tour à Meghan et Harry pour leur ““apprendre à planifier””

Kathleen Wuyard

Depuis l’annonce choc de leur “abdication”, Meghan et Harry n’en finissent plus de faire les gros titres... et cette fois, à leurs dépens: un avocat américain s’est en effet amusé à copyrighter la marque “Sussex Royal” outre-Atlantique pour leur apprendre une leçon.


Le Prince Harry et sa belle avaient pensé à déposer le trademark pour Sussex Royal en Grande-Bretagne en juin dernier, mais ils n’avaient pas eu la présence d’esprit de faire de même aux Etats-Unis aussi, un oubli d’autant plus dommageable, qu’ils compteraient visiblement partager leur temps entre le Royaume-Uni et l’Amérique du Nord. Ni une ni deux, apprenant que la marque était toujours disponible aux States, l’avocat spécialiste en propriété intellectuelle Jared Fogelson n’a pas hésité à déposer le copyright en apprenant que Meghan et Harry voulaient abandonner leur rôle de “senior royals” pour notamment gagner leur propre argent. Et cette démarche pourrait potentiellement lui rapporter (très) gros.

Lire aussi: Pourquoi l’abdication de Meghan et Harry menace la monarchie britannique

 

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“After many months of reflection and internal discussions, we have chosen to make a transition this year in starting to carve out a progressive new role within this institution. We intend to step back as ‘senior’ members of the Royal Family and work to become financially independent, while continuing to fully support Her Majesty The Queen. It is with your encouragement, particularly over the last few years, that we feel prepared to make this adjustment. We now plan to balance our time between the United Kingdom and North America, continuing to honour our duty to The Queen, the Commonwealth, and our patronages. This geographic balance will enable us to raise our son with an appreciation for the royal tradition into which he was born, while also providing our family with the space to focus on the next chapter, including the launch of our new charitable entity. We look forward to sharing the full details of this exciting next step in due course, as we continue to collaborate with Her Majesty The Queen, The Prince of Wales, The Duke of Cambridge and all relevant parties. Until then, please accept our deepest thanks for your continued support.” – The Duke and Duchess of Sussex For more information, please visit sussexroyal.com (link in bio) Image © PA

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Incroyable mais vrai, le business de revente de domaines intellectuels est une manière très fructueuse de gagner sa vie, qu’il s’agisse ici d’une marque ou bien d’un nom de site internet. La blogueuse américaine Joanna Goddard, à la tête d’un média lifestyle à succès lancé sur base d’un blog, a ainsi dû endurer des années de négociations coûteuses avant de pouvoir enfin passer de “cupofjo.blogger.com” à “cupofjo.com” parce qu’elle n’avait pas pensé immédiatement à déposer le nom et que quelqu’un d’autre l’avait fait à sa place, et comptait bien faire payer cher la cession du nom de domaine.

Une “étourderie monumentale”


Interviewé par le site people TMZ, Jared Fogelson a pour sa part affirmé qu’il ne voulait pas prendre la marque “Sussex Royal” et qu’il serait même prêt à la céder gratuitement à Meghan et Harry, mais qu’il voulait simplement leur apprendre à mieux planifier leurs décisions, et leur empêcher une erreur à cause d’une “étourderie monumentale”. Lors de leur dépôt de trademark en Grande-Bretagne, Harry et Meghan l’ont notamment déposé avec vue de l’utiliser sur une variété d’objets allant des marque-pages aux crayons en passant par les chaussettes. Une gamme de produits dérivés à leur image qui pourrait leur rapporter gros, mais bien moins encore que s’ils décident de devenir des célébrités à plein temps et à monnayer leurs apparitions et leurs collaborations avec des marques, voire même, qui sait, à écrire un livre à quatre mains.

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