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““LE POINT G”” épisode 150: la bible du cul à lire aux toilettes

La rédaction

Gaëlle, 28 ans, en a bavé côté cœur. Après avoir épluché Tinder et vécu mille et une nuits parfois torrides, parfois étranges, il semblerait qu’elle ait trouvé le bon. Avec Ben, elle explore toutes les facettes de la sexualité. Avec amour, mais surtout avec humour.


L’autre jour, j’ai acheté le livre de June Pla : Jouissance Club. Vous ne connaissez pas encore cette bible du cul ? Laissez-moi vous la présenter. Promis, ce n’est pas un article payé ou sponsorisé. C’est juste que je suis convaincue que tout le monde devrait prendre connaissance de ce qui va suivre pour son bonheur futur et une vie sexuelle OUFISSIME. Jouissance Club, à la base, c’est un compte Instagram sur lequel sont compilés des témoignages et des schémas de toucher apportant beaucoup de plaisir dans le cadre de rapports sexuels.

En gros, elle postait régulièrement des idées de « comment se faire plaisir » en solo ou à plusieurs. Riche de son succès, Jouissance Club a fini par devenir un livre. Et quel livre !

Ce n’est pas compliqué, toutes mes copines m’en parlent.


Une collègue m’a même dit dernièrement  « si jamais tu n’as plus d’inspiration pour tes chroniques, je te conseille ce bouquin ! ». Évidemment, étant une femme en quête de savoirs et adorant parler de sexualité, j’ai été parmi les premières acheteuses de ce que je qualifierai de manuel de jouissance. Oui, oui, rien que ça.

Croyez-moi sur parole, June Pla a condensé des idées alléchantes pour décupler les plaisirs. Et ça, c’est vraiment quelque chose qui manquait dans les librairies.


Déjà, ce bouquin est inclusif et parlera à absolument tout le monde qui aime le sexe. C’est littéralement un livre de sexualité universelle. Donc que vous soyez homme, femme, trans, x, hétéro ou homo ou tout ce que vous voulez, si vous souhaitez perfectionner vos mouvements en solo ou faire monter un·e partenaire au 7ème ciel, c’est sans conteste LE livre que tout le monde devrait avoir chez soi. D’ailleurs, quand ma collègue adorée m’a confié l’avoir acheté et kiffer son contenu avec son mec, je lui ai à mon tour expliqué que c’était mon livre de toilettes depuis quelques temps.

Voyez-vous, je trouve ça plutôt cool que mes invités puissent le feuilleter pendant leur petite pause sacrée.


Ils s’informent, ils prendront du plaisir en rentrant chez eux (enfin, j’espère quand même que tous mes potes ne sont pas masturbés dans mes toilettes, ça serait ballot) et ça me met en joie de les aider à se cul-tiver. Les retours sont très positifs et la majorité des dits-amis ont fini par se procurer leur propre exemplaire, histoire de ne pas oublier les techniques apprises dans ce charmant ouvrage. Ce que j’adore particulièrement avec son contenu, c’est que c’est très accessible. June appelle une vulve, une vulve et n’hésite pas à mettre des touches d’humour au gré de ses envies. C’est frais, drôle, léger, et terriblement excitant aussi !

J’aime que les dessins montrent exactement où appuyer et comment, pendant combien de temps et avec quelle mesure de sécurité pour éviter toute douleur… Bref, vous l’aurez compris, je suis vraiment conquise. Je n’attends plus qu’une chose : que Ben prenne le temps de le feuilleter. Pas que ça va révolutionner notre vie sexuelle (il met déjà les techniques en application pour la plupart), mais quand même, je ne cracherais pas sur un soupçon de nouveauté. C’est quand même incroyable de l’avoir sous les yeux à chaque fois qu’il va sur le trône mais de ne pas avoir mentionné une seule fois son contenu, non ? Un jour, je lui avais même envoyé la version PDF et il m’avait rétorqué « 258 pages ? Mais ça va pas ou quoi ? J’ai pas besoin de lire ça pour savoir comment baiser hein ». Aaaaah l’égo des hommes... Et la communication… Et l’attention envers le plaisir de sa/son partenaire… Ce n’est toujours pas gagné hein !

Enfin, vous me direz, ce n’est pas très grave s’il ne ressent pas le besoin de parler de sexualité autant que moi, du moment que quand il ouvre la bouche dans le bon contexte, ça soit pour sortir sa langue, ça me va. Huhu.

Point G

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