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8 leçons que la saga Harry Potter nous a apprises sur la vie

Barbara Wesoly

7 livres, huit films, une pièce de théâtre. Mais surtout des dizaines d’heures de rires, de larmes et de cœur battant à l’unisson avec Harry, Hermione et Ron. Pour beaucoup d’entre nous, la saga de J.K Rowling, a été – ou est encore – bien plus qu’une série d’ouvrages. Un ami, un compagnon de route, un complice de milliers d’instants. Et nous en a appris tout autant sur la vie qu’à pu le faire le monde des Moldus.


Derrière ses airs de série littéraire de fantastique, Harry Potter cache de très nombreux principes philosophiques et surtout de jolies leçons de vie.

En chacun de nous sommeille un talent qui ne demande qu’à se réveiller


Lorsque l’histoire commence dans le placard sous l’escalier, au 4 Privet Drive, Little Whinging, Harry a tout du vilain petit canard, délaissé, incompris, méprisé. Jusqu’à ce qu’arrive la lettre de Poudlard et la révélation de ses origines. Peut-être la plus porteuse des symboliques de toute la saga. Celle qui réveille l’espoir. Et la certitude qu’on est tous des magiciens, qui ne demandent qu’à trouver l’endroit et les gens auprès de qui laisser éclore notre talent.

Se battre pour défendre ce en quoi on croit est essentiel, quel qu’en soit le prix


Durant les milliers de pages que compte la saga de J.K Rowling, Harry doit faire face non seulement à Voldemort mais presque autant à l’injustice. Discrédité volontairement par le Ministère de la Magie, considéré comme fou ou comme un menteur par certains élèves, traité avec mépris par Rogue, torturé par Ombrage. Et pourtant il continue à se battre sans relâche contre le Seigneur des Ténèbres autant que pour que soit entendu la vérité et pour défendre les plus faibles et ceux qui sont maltraités. Un engagement et un courage sans faille, qui finissent, heureusement par être récompensé (même s’il faut attendre pour cela sept livres!).

Il ne faut pas se fier aux apparences


Ils sont nombreux les personnes de la saga qui démontrent l’importance de ne pas se laisser influencer par les clichés, les stéréotypes ou les premières impressions. Hagrid, qui en raison de ses origines de demi-géant aurait été chassé de nombreux endroits. Tout comme Rémus Lupin, excellent professeur de défenses contre les forces du mal, indépendamment du fait qu’il soit un loup-garou. Luna Lovegood et Neville Londubat, qui sous leurs airs distraits et maladroits cachent des amis incroyablement courageux et fidèles. Et puis surtout Rogue, que l’on aura haï, presque jusqu’à la dernière page, alors qu’il était un protecteur œuvrant dans l’ombre. Les gens sont toujours bien plus complexes que l’impression qu’ils donnent.

Les filles sont des super-héroïnes


D’Hermione, l’élève la plus douée de la classe, en passant par les incroyables Ginny, Tonks, McGonagall, Molly Weasley ou Luna Lovegood, la saga ne serait pas la même sans ses personnages féminines. Et elle n’aurait même pas existé sans Lily Potter, qui sacrifia sa vie pour sauver son fils du plus ténébreux des mages noirs.

L’amitié est vitale


Dès le premier film, on en a la preuve. Notre sorcier préféré n’aurait jamais réussi à accéder à la pierre philosophale sans Ron et Hermione. Et tout au long de chaque épisode, ce principe revient avec toujours plus de force, jusqu’au message final où Harry explique à Voldemort que la différence entre eux est que le Seigneur des Ténèbres ne connaît pas l’amour et l’attachement.

Au coin de la rue peut se cacher un univers insoupçonné


C’est le regard qui fait le monde, on le sait. Mais on ne soupçonne pas toujours son pouvoir. Il n’est pas forcément nécessaire d’aller à l’autre bout de la terre ou de se rendre dans les endroits les plus fous pour vivre une existence exceptionnelle et pour côtoyer la magie. Celle-ci peut être soigneusement cachée derrière  un mur de briques entre deux quais, dans une banale cabine téléphonique ou sous la forme d’un chat noir qui attend sur un muret. Et c’est pareil même en étant Moldu, il nous suffit parfois seulement d’être prêt à la découvrir dans les petits instants du quotidien.

La liberté est précieuse


Le thème de l’esclavage revient de manière récurrente dans la saga. Esclavage de Dobby et des elfes de maison, mais aussi principe d’être esclave à son aveuglement ou à sa peur, esclave de sa lâcheté. Comme le dit Dumbledore: il faudra choisir entre le bien et la facilité. Et notre liberté est aussi volatile que précieuse.

La magie existe


Pas forcément sous forme de sorts, d’enchantements, de balais volants et de crapauds qui disparaissent, mais bien dans notre imaginaire et dans son pouvoir à déplacer des montagnes.

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On reste encore un peu du côté de Poudlard:

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