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© Getty Images

5 solutions pour une organisation au top dès la rentrée

La rédaction

La rentrée universitaire approche à grands pas. Un plaisir pour les uns·es, un cauchemar pour les autres. Si vous appréhendez la reprise et l’année scolaire à venir, voici cinq solutions pour vous aider à être au top dès le mois de septembre.

Ça y est, les vacances sont finies, et certains·es d’entre vous sont, en ce moment, en train de passer la seconde sess’ qui validera leur année. Le chemin peut sembler long, tout autant que l’attente des résultats. Si ceux-ci se révèlent ne pas être à la hauteur de vos espérances, ne paniquez pas. Il n’est jamais trop tard pour se reprendre en main.

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Nouvelle rentrée peut aussi dire nouvelles résolutions. Voici cinq solutions pour vous organiser au mieux afin d’aborder la rentrée plus sereinement, et ainsi tout déchirer durant le premier et le deuxième quadri.

Ne désespérez pas

On ne va pas se mentir, après avoir reçu une mauvaise note, difficile de rester positif·ve. Mais ça va beaucoup mieux dès lors qu’on a compris une chose: rien n’est irréparable. En travaillant avec acharnement, dès la rentrée, vous verrez vos efforts récompensés à coup sûr. Si ça ne passe ni en janvier, ni en juin, ne désespérez pas, dites-vous que l’on ne peut pas être fort·e partout. Et puis, il y a encore la session d’août pour vous rattraper. Si, justement, vous êtes en ce moment en pleine seconde sess’, nous sommes de tout cœur avec vous!

Le mot-clé: organisation

Le manque d’organisation est souvent l’une des causes principales de l’échec. C’est pourquoi, dès la rentrée, il faut vous munir de votre plus bel agenda. Fini d’oublier une interro, un travail de groupe ou une conférence, vous devez maîtriser à la perfection votre emploi du temps pour le rentabiliser au maximum. Ainsi, vous éviterez de vous retrouver face au mur, avec à peine deux jours pour étudier un cours de 300 pages. Évidemment, s’organiser, c’est aussi prendre des notes correctement. Que ce soit avec votre ordinateur ou à la main, essayez d’être attenti·ve en cours pour pouvoir noter le plus d’informations possible. Cela vous évitera de vous maudire la veille de l’examen pour avoir trop papoté avec votre voisin·e.

Ne vous surestimez pas

Nous aimerions toutes et tous croire que nous sommes des warrior. Mais ne vous fixez pas des objectifs inatteignables. Si vous ne parvenez pas à venir à bout de votre liste des choses à faire, aujourd’hui, vous n’en serez que plus démoralisé·e demain. C’est pourquoi il faut rester dans les limites du raisonnable, rien de tel que le sentiment de satisfaction d’avoir terminé tout ce qu’on avait à faire pour la journée et de pouvoir se relaxer.

Ménagez-vous

Nous ne sommes pas des machines, et quand la matière ne rentre plus, elle ne rentre plus. Pas la peine de forcer et de vous torturer. Tout ce que vous y gagnerez, c’est de longues heures perdues à fixer vos syllabi sans emmagasiner la moindre information. Les trop-pleins, ça arrive à tout le monde. Dans ces cas-là, accordez-vous une pause en allant faire un jogging, une promenade, en prenant un café avec une amie ou en faisant n’importe quelle activité qui vous détend et vous relaxe. Lorsque vous vous remettrez au travail, vous aurez l’esprit plus clair et votre étude s’en trouvera nettement facilitée.

Utilisez tous les outils à votre disposition

On ne va pas se mentir, on est un peu toutes et tous accros aux réseaux sociaux. Alors autant qu’ils nous soient utiles de temps en temps. N’hésitez pas à rejoindre des groupes Facebook d’entraide auxquels sont inscrits·es d’autres étudiants·es qui sont en cours avec vous. C’est l’endroit propice pour poser les questions que l’on n’ose pas demander au prof de peur de paraître bête. C’est aussi le lieu où il est possible de dénicher tout un tas de documents facilitant votre étude, comme des exemplaires d’examens des années précédentes. Toutefois, restez vigilants·es aux “ragots” colportés par rapport à tel examen “insurmontable” ou à tel prof “monstrueux”. Certains·es ont parfois tendance à mythifier ce qui en réalité est largement abordable.

Texte: Mathilda Sardo

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