Gen F

En rejoignant la communauté, vous recevez un accès exclusif à tous nos articles, pourrez partager votre témoignage et…
© Librestock

Dans 40 ans, il pourrait ne plus rester le moindre animal sauvage

Barbara Wesoly
Plus de singes. Aucun éléphant. Pas d'ours. Cela ressemble à un scénario de science-fiction, mais c'est la situation tragique qui menace la planète. Entre 1970 et 2012, 58% des espèces vertébrées ont disparu. Un déclin qui devrait atteindre 67% en 2020. Et ensuite?

Depuis août, l'humanité vit à crédit, ayant épuisé toutes les ressources naturelles à disposition pour l'année. Un constat effrayant et le symbole de notre gaspillage énergétique et de notre pollution frénétique. Un constat effrayant auquel vient s'en superposer un autre aujourd'hui, dénoncé par WWF. Par la faute de la pression de l'humain sur les écosystèmes de très nombreuses espèces animales sont menacées de disparition, voire pour certaines, déjà totalement éteintes.

 

Aucun répit

Mammifères, poissons, oiseaux, reptiles et amphibiens sont concernés. Si les plus touchés sont ceux vivant en eau douce, qui connaissent une diminution de leur population de 80% en 40 ans, les espèces terrestres et sous-marines sont, elles aussi affaiblies, avec un déclin respectif de 36 et 38%.

 

Une nécessité de changement

Le Fonds mondial pour la nature ne point pas seulement notre exploitation agressive et la diminution des habitats vivables pour les animaux sauvages, mais aussi plusieurs problématiques environnementales qu'il faudrait traiter en urgence, pour enrayer le phénomène, comme l'acidification des océans, l'utilisation massive de l'eau douce ou la diminution de l'ozone stratosphérique. Un cri d'alarme global dont on rêve tant qu'il soit enfin entendu.

 

Et, parce que l'évolution, c'est nous toutes:

Vous avez repéré une erreur ou disposez de plus d’infos? Signalez-le ici

Nos Partenaires