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© Audrey MarshmalOo

Audrey MarshmalOo, membre du jury Flair Online Talent Award 2016

Julie Bourgeois

On a rencontré Audrey MarshmalOo, vloggeuse depuis 2009. Comme ses 180.000 abonnés, on est tombées sous son charme. Elle nous raconte son quotidien passionnant de vloggeuse et surtout, son amour pour sa “communauté en or” qu’elle chérit tant. Laissez-lui un commentaire, on parie qu’elle vous répondra! 

D'où vous est venue l'idée de créer un vlog?

“J’aimais bien poster des photos de mon maquillage. Un jour, quelqu’un m’a demandé si je faisais des vidéos où je parlais de ça. À l’époque, ça ne m’aurait jamais traversé l’esprit, je ne voyais pas ce que je pouvais bien apporter... puisque je n’étais pas maquilleuse professionnelle! Et puis, j’ai essayé et c’était nul. Je ne l’ai même pas postée! J’ai persisté, je me suis dit qu’il fallait que je raconte une histoire et que je raconte ma vie, comme je le ferais avec des copines. Et là, ça a commencé à prendre, les gens se sentaient concernés, simplement parce qu’on vivait les mêmes choses."

 

Dans mon vlog, je raconte ma vie, comme je le ferais avec des copines

 

Est-ce qu'aujourd'hui, vous pouvez en vivre?

"Depuis peu, oui. Je ne vis pas de mes vues Youtube, mais des collaborations avec les marques. Et là aussi, je fais appel à mes émotions. Je travaille uniquement au projet, j’aime bien sélectionner ce qui me touche vraiment. J’ai fait de ma passion, mon métier. J’ai beaucoup de chance!”  

 

Quelle place votre chaine Youtube prend-elle dans votre vie?

“Mon mari dirait une trop grand place! On ne compte pas ses heures comme dans un boulot classique. Je gère mes réseaux sociaux moi-même, je lis tous mes mails, je réponds à tout, ça prend énormément de temps. Même en vacances, je suis dans la création. J’essaie de m’octroyer un jour de temps en temps où je poste, où je suis moins présente. Même si le cordon n’est jamais complètement coupé... Quand on aime, on ne compte pas!” 

 

Quelle a été votre plus grande fierté en tant que vloggeuse?

D’avoir pu rencontrer mes abonnés! Si un jour, on m’avait dit que je rencontrerais plein de gens venus pour me faire des câlins, je n’aurais jamais cru ça possible! Je suis trop fière d’eux parce qu’ils sont comme moi, c’est une communauté en or. Ma plus grande fierté c’est de les avoir, parce qu’on est pareils.” 

 

Quel follower vous a particulièrement touchée?

“Une abonnée qui avait été hospitalisée pour anorexie et qui m’a expliqué de vive voix que j’avais changé sa vie, qu’elle avait réussi à se soigner grâce à mes vidéos. Moi, j’ai pu changer la vie de quelqu’un! On ne s’imagine jamais ça. Qu’à un moment ou un autre, j’ai pu provoquer un déclic dans la vie de quelqu’un, ça me remplit toujours de joie.” 

 

Quels sont vos conseils pour une fille qui veut commencer son vlog?

“• Savoir ce qu’on a envie de créer et de partager. Si on ne sait pas quoi raconter, c’est que ce n’est pas encore le bon moment pour se lancer. • Être très créative et montrer sa propre personnalité. • Avoir une ligne éditoriale, ne pas se laisser exploiter par les marques. Même si on débute, on doit pouvoir suivre la ligne qu’on s’est fixée. • Respecter sa communauté permettra de développer une alchimie avec elle.” 

 

Quels sont vos critères pour sélectionner les finalistes du FOTA 2016?

“Je marche au feeling! Il faut que je sente une émotion, que dans ce que la personne va partager, elle ait mis toutes ses tripes. Mes trois critères principaux seront donc la sensibilité, l’originalité et la passion. J’espère y découvrir des talents qui ont la patate. Ce serait super cool!” 

En collaboration avec:

 

Clinique

 

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