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Miley Cyrus aurait plagié ce chanteur jamaïcain

La chanteuse sulfureuse Miley Cyrus est, une fois de plus, au cœur d’une polémique brûlante. Cette fois, pas de tirage de langue en perspective, mais plutôt l’utilisation d’un dialecte, qui aurait été tout droit sorti d’une chanson d’un artiste jamaïcain.


Une chanson qui remonte à 2013

 

300 millions de dollars pour deux phrases


Dans le monde de la musique, on ne rigole pas avec le plagiat. On se rappelle toute de la chanson We can’t stop de Miley Cyrus, que l’on chantait à tue tête avec nos copines en allant à la plage: And we can’t stop / We run things, things don’t run weeeeeee / Don’t take nothing from nobodyyyyyyy. Et bien apparemment, il s’avère que ces paroles auraient été pompées sur un titre de Flourgon, un chanteur jamaïcain, intitulé We run things. Cette chanson, datée de 1988, comporte le couplet We run things / Things no run we, qui serait soit disant à l’origine de la chanson de la jolie Miley. La plainte, déposée par Flourgon lui-même devant un tribunal fédéral de New-York, explique que “ce titre comporte des racines de patois jamaïcain avec son propre phrasée, unique, et ses associations qui, traduites en anglais, ne sont pas correctes grammaticalement”.

 

Voilà la version de Miley:

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Et voilà la chanson “originale”:

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La chanteuse de 25 ans, qui avait sorti cette chanson en 2013, a obtenu un véritable succès et plus de 800 millions de vues sur Youtube pour son clip. Du coup, Flourgon estime que le succès de ce clip lui revient en partie et réclame donc 300 millions de dollars à la jeune femme. Bien sûr, cette somme en elle-même est beaucoup plus élevée que ce que possède actuellement la chanteuse, qui n’a à ce jour pas encore répondu à ces accusations. Pour l’heure, nous n’avons donc pas le dénouement de cette histoire. Mais une chose est sûre, on n’a pas fini d’entendre parler de Miley.

 

 

 

 

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