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© Christopher Robin (Ewan McGregor) with his longtime friend Winnie the Pooh in Disney’s CHRISTOPHER ROBIN.

Séance pop-corn: 8 raisons d’aller voir ““Jean-Christophe et Winnie””

Un vent de fraîcheur va souffler dans les salles de cinéma belges dès ce 8 août. Jean-Christophe & Winnie, la dernière et très attendue création de Disney, va réveiller nos souvenirs d’enfance. Nous avons vu le film en avant-première et on vous donne 8 bonnes raisons d’aller le découvrir à votre tour.

Petit garçon, Jean-Christophe (Ewan McGregor) adorait arpenter la forêt des rêves bleus avec ses amis en peluche: Winnie, Tigrou, Bourriquet et Porcinet. Mais, le temps est passé et Jean-Christophe est devenu un adulte sérieux. Jusqu’au jour où Winnie réapparait dans sa vie pour lui demander de l’aider afin de retrouver ses compagnons de route égarés dans la forêt.

Parce qu’on retrouve notre âme d’enfant


Dans ce nouveau film à la gloire du petit ourson en peluche, Winnie et ses amis tentent d’aider Jean-Christophe, devenu adulte, à retrouver son âme d’enfant.

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Parce que les héros de notre enfance prennent vie


Grâce au live motion, à la 3D et aux effets numériques, Winnie, Tigrou, Bourriquet et Porcinet, les héros de notre enfance, prennent vie sous nos yeux. A l’instar de Paddington, nos amis en peluche se baladent dans les rues de Londres, au milieu de la jungle humaine. On n’y voit que du feu!

Parce qu’on aimerait vivre dans la Forêt des rêves Bleus


Un monde exempt de stress, de violence et d’angoisse, où la nature est reine. Un monde utopiste, certes, où Winnie et ses amis s’inventent des aventures fantaisistes dans lesquels ils viennent à bout de monstres imaginaires.

Parce qu’on nous fait passer un tas de messages


Si on lit entre les lignes, on comprend vite, qu’une fois de plus, l’ambition des producteurs de “Jean-Christophe & Winnie”, est de nous faire passer un tas de messages applicables à nos vies actuelles. Winnie, c’est l’ourson un peu bêta, qui manque parfois de jugeote, qui porte un t-shirt trop court et qui ne pense qu’à s’empiffrer de miel. Et, malgré toutes les remarques qu’on peut lui faire, Winnie s’aime, accepte qui il est. Ce qu’on devrait toutes faire finalement!

Il est aussi question de tolérance, d’accepter nos différences. Et, même si le film a lieu dans une période trouble (l’entre-deux-guerres), on peut facilement faire des parallèles avec notre époque. Jean-Christophe est accaparé par son boulot, il vit à du 100 à l’heure, aux dépens de sa famille qu’il a tendance à délaisser. C’est Winnie qui va lui rappeler de ne pas sous-estimer l’importance de ne rien faire! Si, encore une fois, Winnie vit dans un monde idéalisé, sa pensée nous amène à réfléchir à un meilleur équilibre entre notre quotidien frénétique et le temps qu’il faudrait qu’on prenne pour soi.

Le message vaut aussi pour les enfants qui, à l’instar de Madeleine, la fille de Jean-Christophe, se fixe des objectifs quasiment irréalisables pour gagner la reconnaissance de son père, oubliant l’innocence propre à son jeune âge.

Parce qu’on adore Ewan McGregor


Une fois n’est pas coutume, il est excellent dans son rôle de Jean-Christophe... et on craque pour son interview des personnages du film.

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Parce que les personnages ont grandi avec nous


Winnie et ses copains apparaissent sous la forme de peluches dans le long-métrage. Des peluches qui ont traversé les époques... et nous donnent l’impression d’avoir pris un petit coup de vieux (comme les doudous de notre enfance qu’on garde secrètement cachés chez nous)! Le réalisateur, Marc Forster, souhaitait que ses personnages aient l’apparence de peluches que les enfants trimballent sous leur bras.

Parce qu’on connaît les secrets de tournage


Lorsqu’on travaille en live motion, les acteurs ont tendance à donner la réplique à des balles de tennis, à des objets, qui sont ensuite remplacés par des personnages réels en post-production. Ici, dans un souci de crédibilité, Marc Forster a engagé de jeunes acteurs qui tenaient dans leurs mains les peluches du film qu’ils pouvaient manipuler à l’aide d’un harnais et d’une perche.

Parce que la magie de Disney opère


Comme les peluches qu’on serrait dans nos bras étant petites dans l’espoir qu’elles nous protègent du monde entier, ce long-métrage, signé Disney, nous réconforte, nous attendrit, nous fait rire, est porteur d’espoir. Bref, il mérite amplement qu’on lui consacre 104 minutes de notre emploi du temps surchargé d’adultes toujours trop débordés.

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En salles le 8 août 2018.

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