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Cette scène coupée du ““Diable s’habille en Prada”” change toute notre vision du film

Barbara Wesoly

Sorti en 2006, Le diable s’habille en Prada est rapidement devenu l’un de nos classiques favoris. Onze ans plus tard, et alors qu’on pensait connaître par cœur chacune des répliques de cette féroce comédie sur l’univers de la mode, une scène inédite vient bouleverser notre regard sur l’histoire.


Le film suit le parcours de la jeune journaliste Andrea Sachs, interprétée par Anne Hataway, qui, sortant de l’école, devient l’assistante de Miranda Priestly, toute puissante rédactrice en chef d’un célèbre magazine fashion. Tyrannique, despotique et glaciale, le personnage joué par Meryl Streep, fait vivre un enfer à Andrea durant la presque totalité du long-métrage, jusqu’à ce qu’enfin, celle-ci décide de tout quitter et que Miranda Priestly dévoile alors un tout autre visage, nettement plus humain et même limite bienveillant.

Une minute qui modifie – presque – tout


Or, un journaliste de Buzzfeed a publié sur son compte Twitter ce 28 août, un passage coupé au montage, qui aurait clairement changé la donne du film s’il avait été conservé. Il se déroule durant le gala de charité auquel assiste Miranda ainsi qu’Andrea et Emily, co-assistante de la rédactrice en chef. Alors que Miranda est en train de parler à Irv Ravitz, le grand patron du groupe presse du magazine, son mari débarque et manque de faire un esclandre. Une situation tendue, désamorcée par Andrea et qui s’achève sur un “merci”, soufflé par Miranda Priestly en direction de la jeune femme.

 

Derrière la carapace


Si l’évènement en lui-même est anecdotique, il place la terrifiante directrice en position de faiblesse et montre qu’elle est capable de signes de gratitude et de reconnaissance! Une sensibilité évoquée dès lors très tôt dans le long-métrage et que le réalisateur a sans doute préféré éviter de révéler pour en conserver la surprise jusqu’au bout. Il faut dire que Le diable s’habille en Prada ne serait pas aussi savoureux sans la personnalité terrifiante et acariâtre de Miranda Priestly. Un choix qu’on valide donc à 100% même si on est ravies de découvrir ce passage après coup.

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