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10 anecdotes que vous ignorez sur ““Pretty Woman””

Barbara Wesoly

L’histoire de Vivian, prostituée d’Hollywood Boulevard, rencontrant le grand amour en la personne d’Edward, riche homme d’affaires venu faire appel à ses services, continue de séduire les foules, près de 40 ans (aie ça fait mal) après sa sortie. “Pretty Woman” de Gary Marshall reste en effet l’une de nos comédies romantiques favorites. Une raison suffisante pour vouloir en connaître tous les secrets.


“Pretty Woman” fait partie des longs-métrages qu’on a vu mille fois, et qu’il nous sera pourtant impossible de zapper lors de son prochain passage à la télé. Celui qui a révélé Julia Roberts au grand public, en 1990, est toujours aussi culte aujourd’hui et l’alchimie entre l’actrice et son partenaire Richard Gere n’a pas pris une ride. L’occasion de s’offrir quelques révélations croustillantes sur le film culte.

Un tout autre titre


La comédie romantique de Gary Marshall devait initialement s’appeler “3000 dollars”, à savoir la somme offerte par Edward à Vivian pour la semaine passée à ses côtés. Nettement moins léger et romantique que le titre final. Celui-ci a finalement été modifié pour coller à la bande-son devenue culte, “Pretty Woman” de Roy Orbison.

Loin du conte de fées


Et de fait, “Pretty Woman” n’était à la base pas destiné à devenir la comédie romantique qui connu un immense succès. Comme l’explique Vanity Fair, après sa semaine de rêve passée avec son riche client, Vivian était censée mourir tragiquement d’une overdose, dans le bus l’emmenant à Disneyland en compagnie de son amie Kit. Sauf qu’en cours de projet, le film fut racheté par la maison de production Touchstone Pictures, appartenant à Disney et se vit doté du happy end qu’on connaît et qui contribua certainement à une grande part de son succès.

Un casting bien différent


En 1990, Julia Roberts n’était pas une star internationale mais une actrice débutante révélée par “Mystic Pizza” et “Potins de Femmes”. Tandis que Richard Gere traversait un passage à vide après l’époque “American Gigolo”. Gary Marshall avait dès lors jeté son dévolu sur Al Pacino et Michelle Pfeiffer pour jouer Edward et Vivian. Mais ceux-ci ont décliné la proposition. Tout comme nombre d’autres comédiennes pour ce premier rôle féminin, parmi lesquelles Daryl Hannah ou encore Meg Ryan. Et heureusement, au vu de l’alchimie incroyable qui anima le duo sur le tournage. Ce serait d’ailleurs pour tourner avec Julia Roberts, rencontrée lors des essais, que Richard Gere aurait accepté de participer au long-métrage, lui qui était réticent quant au scénario.

Le point de départ d’une grande amitié


Et la complicité des deux acteurs ne s’est pas arrêtée au sortir des studios, puisque depuis lors, Julia Roberts et Richard Gere demeurent toujours aussi proches. Une amitié qui les a amené à décider de rejouer ensemble en 1999, dans la comédie “Just Married”, l’histoire de Maggie Carpenter, jeune femme ayant fui ses trois mariages, sur le pas de l’autel.

Un peu honteux


Pour autant, Richard Gere n’est pas fier de sa performance sous les traits d’un golden boy engageant une prostitué. En 2012, l’acteur confiait ainsi que le film était celui dont il était le moins satisfait de sa carrière et tout particulièrement de cette image idéalisée d’homme d’affaires, bien loin de la réalité: “On me pose toujours plein de questions au sujet de “Pretty Woman” mais c’était une comédie romantique stupide”, n’a-t-il pas hésité à affirmer.

Scène imprévue


Tout au long du film, la prestation de Julia Roberts est pleine de fraîcheur et semble particulièrement spontanée. Et cela a été véritablement le cas pour certaines scènes, devenues cultes depuis et qui n’étaient en réalité absolument pas planifiées ainsi. Notamment celle où Edward présente à Vivian l’écrin refermant un collier de diamant, avant de le refermer d’un coup sec, suscitant un grand éclat de rire de sa partenaire. Une blague imaginée par le comédien, ayant vraiment surpris l’actrice. Et demeurant parmi les meilleures scènes du long-métrage.

Et bijou sous haute protection


Et ce fameux bijou fut d’ailleurs entouré de toutes les attentions, puisqu’il valait la bagatelle de 250.000 dollars. Le collier bénéficia donc d’une équipe spécialement dépêchée pour veiller à sa sécurité.

Catastrophe capillaire


La scène où Vivian écoute Prince dans son bain a elle tourné au désastre beauté puisqu’après une journée entière passée dans l’eau et le savon, employé pour les bulles, les cheveux de Julia Roberts, teints en roux avaient complètement décolorés. Il a donc fallu les lui arranger à 22h ce soir-là pour pouvoir reprendre le tournage le lendemain.

Doublure particulière


Cette coloration n’a pas été le seul artifice utilisé par Julia Roberts pour le film. En effet, les jambes interminables et sublimes de l’actrice dans le film et sur l’affiche, ne sont pas les siennes mais celle d’une doublure, Shelley Michelle, ayant aussi prêté sa plastique à Sandra Bullock ou Kim Basinger. Mais, une grande part du succès du film n’en reste pas moins lié au charme magnétique et lumineux de l’interprète de “Coup de foudre à Notting Hill”, doublure jambes ou pas.

Mais vrai pianiste


Par contre, lors de la scène ou Edward joue du piano seul, dans le bar de l’hôtel, c’est bien Richard Gere qui réalise cette performance. L’acteur s’est en effet révélé être un talentueux pianiste. Une corde à son arc qu’on ne lui connaissait pas.

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