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The Bear affole les foules DR FX

ON A VU: ““The Bear””, la série food déjà culte aux Etats-Unis

Kathleen Wuyard

Sujet de nombreux memes et d’au moins autant de commentaires élogieux depuis plusieurs semaines, “The Bear” est enfin disponible en Belgique depuis ce 5 octobre, date de son ajout sur “Disney+”. Et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle a été à la hauteur de nos attentes pourtant élevées.

Le scénario de la série? “Carmen “Carmy” Berzatto, un jeune chef du monde de la gastronomie, est de retour à Chicago pour reprendre la direction de l’établissement familial, à la suite du suicide de son frère. Loin de son univers, Carmy doit faire face aux écrasantes responsabilités d’une petite entreprise, à un personnel récalcitrant et à des relations familiales tendues, tout en subissant les conséquences de la tragédie” résume pour Allociné Emilie Semiramoth, responsable du pôle streaming de la plateforme, qui n’a pas hésité à qualifier “The Bear” de “juste l’une des meilleures séries de l’année”. Et le qualificatif n’est pas usurpé.

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Dès les prémices du premier épisode, on est happés par l’univers ultra cinématographique (et pour le coup, très HBO, même si la série a été produite par FX) de cette série au rythme enlevé et au casting quatre étoiles. Dans le rôle de Carmy, les fans de la série “Shameless” retrouveront ainsi avec plaisir la gueule cassée sexy de Lip, tandis que son associé est incarné par Ebon Moss-Bachrach (Desi de “Girls”), son oncle mafieux par Oliver Platt (le méchant dans “Beethoven”) et sa soeur par Abby Elliott, de “Saturday Night Live”. Des noms confirmés auxquels s’ajoute notamment celui de Ayo Edebiri, qui crève l’écran dans le rôle de Sydney.

Filmée au plus proche de ses personnages et de la tension qui les anime, “The Bear” donne parfois l’impression d’être un documentaire, et les épisodes, chacun durant une vingtaine de minutes seulement, s’enchaînent avant même qu’on ait réalisé qu’on a englouti toute la saison d’une traite.

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Encensé par des memes affamés (et ce n’est pas de faim de sandwiches italiens qu’on parle ici), Carmy rappelle pourquoi, depuis le tournant du millénaire et la folie des téléréalités culinaires, les chefs sont vus comme de véritables sex-symboles, du genre à faire saliver à chaque gros plan (et il y en a beaucoup) sur ses bras musclés recouverts de tatouages. D’ailleurs, quand le dernier épisode prend fin, on a encore faim, et une seule hâte: que la deuxième saison arrive, et plus vite que ça s’il vous plaît!

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