“À contre-sens” est une trilogie de romans écrite par Mercedes Ron et adaptée à l’écran par Prime Video. L’histoire entre Noah et Nick, d’ennemis à amoureux, les deux personnages s’aiment autant qu’ils se déchirent sur un fond de drama. Dans ce troisième et ultime film, on les retrouve séparés, mais jamais bien loin... voici ce qu’on en a pensé.
“À contre-sens” est une série de romans qui raconte l’histoire de Noah. Contrainte d’emménager dans la maison du nouveau fiancé riche de sa mère, elle compte bien lui faire payer en se plaignant de tout. Et la tension empire lorsqu’elle croise Nick dans la cuisine, le fils du fiancé. Décrit comme un fils prodige, elle réalise très vite qu’il en est rien. Derrière ses faux-airs de fils parfait, se cache une personnalité bien plus explosive, qui flirte dangereusement avec l’illégalité et la violence. Noah finira-t-elle par percer la carapace de ce rebel à la sensibilité enfouie? Si vous n’avez pas encore commencer la saga, on vous laisse deviner... et surtout, on vous conseille d’arrêter cet article ici.
À contre-sens 3: Culpa Nuestra (Our Fault)
Au début de ce troisième volet, Nick et Noah sont séparés depuis quatre ans. L’un a intégré la multinationale de son père et vit à Londres, l’autre a fini ses études universitaires et cherche un job. Témoins du mariage de leurs meilleurs amis respectifs, ils vont devoir se recroiser pour la première fois. Et leur colère ne semble pas s’être apaisée. Nick ne pardonne pas Noah d’avoir eu une relation intime avec son conseiller d’orientation et elle lui en veut de toujours tout détruire. Mais malgré tous leurs ressentiments, ils s’attirent comme des aimants. La réconciliation est-elle réellement impossible?
Ce qu’on en a pensé
Après nous avoir laissées sur une triste fin pour le deuxième volet, on attendait ce troisième volet avec impatience et malheureusement, c’est pas celui dont on se souviendra dans dix ans. On retrouve nos deux ex-amants au mariage de leurs meilleurs amis, et tout de suite, la tension est palpable même sans qu’ils ne s’échangent un mot. À la fin du week-end, chacun retourne à sa nouvelle vie. Noah est plus indépendante que jamais et Nick décolle dans la multinationale familiale, chacun prétend ne plus avoir envie de l’autre dans son nouveau quotidien et pourtant... leurs chemins ne vont pas tarder à se recroiser et se recroiser encore.
Même si le film semble respecter l’intrigue principale du livre, on a trouvé que certaines scènes avaient été trop adoucies pour qu’on puisse réellement ressentir ce boomerang amoureux. Et lorsque deux protagonistes resurgissent du passé pour se venger, la scène tombe comme un cheveu dans la soupe. On a trouvé qu’il y avait à la fois trop d’éléments et à la fois pas assez, comme si le dosage n’avait pas été correctement mesuré.
Dans l’ensemble, bien sûr, ça se regarde avec plaisir (et avec un pot de glace). Comme toutes les comédies romantiques du genre, on a adoré retrouver ce couple qui nous a tant fait vibrer dans le premier volet, on se délecte des “je t’aime, moi non plus” et des secrets qui explosent au pire moment.
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