Laura, journaliste culture, nous parle des 4 lectures qui l’ont le plus marquée cet été.
Atmosphère, de Taylor Jenkins Reid
« J’avais adoré Les 7 maris d’Evelyn Hugo (qui va être adapté par Netflix) et Daisy Jones & The Six (déjà adapté en série par Prime Video) de la même autrice mais je pense avoir encore préféré Atmosphère. Son nouveau roman nous embarque dans les années 80, à une époque où les femmes tentent doucement de se faire une place au sein de la NASA. C’est dans ce contexte que Joan, l’héroïne, va vivre sa plus belle histoire d’amour. Une relation extrêmement bien construite dont on redoute dès le départ l’issue dramatique. »
Atmosphère, de Taylor Jenkin Reid, éd. Charleston.
Personne ne doit savoir, de Claire McGowan
« Le roman parfait à glisser dans ses valises, le genre de bouquin impossible à lâcher que vous allez engloutir en 3 jours! Si vous avez aimé La femme de ménage, vous allez adorer Personne ne doit savoir et son intrigue montée en épingle qui vous tiendra en haleine jusqu’au grand final. Le pitch? Ali réunit ses ancien·ne·s ami·e·s d’université 25 ans après que leurs routes se soient séparées. La soirée tourne au drame: Karen, sa meilleure amie, affirme avoir été violée par Mike, le mari d’Ali. »
Personne ne doit savoir, de Claire McGowan, éd. Hauteville.
Entre toutes les mères, d’Ashley Audrain
« Quand un roman est conseillé par Julia Kerninon, l’une de mes autrices préférées, c’est forcément un gage de qualité. Ici, il est question de ce qu’on transmet (ou non) à nos enfants. J’avais rarement lu un bouquin qui explorait aussi bien toutes les facettes et complexités de la maternité. Avec un postulat de départ assez glauque, malaisant: pourquoi Blythe doit-elle se cacher pour observer sa fille chez son père, qui en a désormais la garde exclusive? Qu’a-t-il pu se passer pour qu’elle ne fasse plus partie du paysage? »
Entre toutes les mères, d’Ashley Audrain, éd. Le Livre de Poche.
Une vague, de Line Papin
« Ana et Auguste sont en vacances à Bali quand une vague déferle sur l’île indonésienne. Quand le tsunami frappe leur hôtel, Auguste lâche la main d’Ana pour aller récupérer la toile qu’il a peinte et lui tient tant à cœur dans leur chambre. Ana ne retrouvera plus jamais celui qu’elle aime. Quelques années plus tard, la toile en question se retrouve dans les mains d’une commissaire-priseuse à New York. Ce que j’ai aimé dans ce roman? Les émotions qu’ils m’ont provoquées, surtout de la colère envers l’un des personnages. Suspense! »
Une vague, de Line Papin, éd. Stock.
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